Une boutade à la mer avec pleins de papelards dedans.

Le dealer de sexe vend de la cockaine(cock).bdm
Violer une pate anthropologue c'est patethique (pate-ethique).bdm
Une voiture révolutionnaire,c'est plutot scénic (cynique).bdm
La faiblesse d'un dieu rouquin,c'est son propre courroux (cou roux).bdm
Les gens atteints de parkinson sont souvent admis en tant que croupier,ils sont souvent saccadés ( sac à dés).bdm
Tu savais que Erza alias titania,on la saluait parfois en lui disant "Hémisphère ! " (Hey miss fer).bdm
Les génies égyptiens étaient souvent avec des lunettes,parce que Djin Djin d'afflelou(Tchin Tchin).bdm
Les femmes de ménages sont fortes en calcul mental,elles travaillent jamais sans chiffes.(chiffres).bdm
Je déteste tellement le temps qu'on m'a déjà traité de violeur (viol-heure).bdm
Un pique-nique ca se refuse pas,on peut pas nier que c'est vachement bien(panier).bdm
Le monde des elder scrolls est plein de poésie,on peut faire des vers avec tout Skyrim ( ce qui rime).bdm
Amazon beaucoup de zous (s= z ).bdm
Ben cherchait son compagnon,on lui a montré un pot et dit " Nut est là".(Nutella).bdm
Quand cette fille chante on sait de suite qu'elle s'étale (c'est tal).bdm
Quand batman peint,comme à son habitude il fait un travail de bat'art (batard).bdm
On dit souvent qu'on est copain comme cochon mais entre nous c'est vrai qu'on bacon beaucoup (déconne).bdm
On dit que les gens d'amérique ont le teint chocolat,perce que chocolatines.(latine).bdm
Ils font une baisse sur le nouveau God of war,on peut l'avoir Kratos (gratos).bdm
Quand on joue avec des chaussures de sécurité,faut rester en tenue,si on aura des bleus de travail.(bleux).bdm
"Quand tu entends Mickael,il faut surtout faire attention à Jackson(chaque son).bdm"
Tu sais pourquoi le léopard court ? Parce que le guépard (gay part).bdm

Il titube dans le couloir avec sa vide bouteille de pinard.Le sol s'offre à toi.Ah ! Quel est belle la figure paternel, la cravate imbibé et le regard frêle.Et si en plus le fiston vient rajouter ton grain de sel ! Et on en arrive là, à un subtil mélange source de ton habituel vodka orange, je suis le fils d'un paillaisson.Tu es devenu ce que tu bois ! Moulte bières dans ce foutu caisson, un petit choc et ca y est c'est la montée de la mousse.Le verre a toujours été fragile alors pourquoi s'entêter à jouer les aventuriers en fin de course ? Un corps de cristal pour un crâne borné de plomb.T'as le label de la déception collé au front.Je pourrais éclater ta face de goulot mais que de bons souvenirs pour toi, ces bagarres de bistrot.On se dit au revoir une dernière fois ? Oh malheureux qu'il est, il profite de son coma. Tant pis, je ne serais pas aussi solennel que Maman pour ca, alors emeche bien ta vie.Brise la.

Voilà chaque jour des fidèles au tumulus,à bêler leur amour du grand lupus.Ils tendent la bête au ciel comme un glorieux trophée,la moitié sont tombés sous ses crocs mais continue de la vénérer.De ses canines ou de ses babines n'avez vous pas compris le message ? La curiosité a atteint un tel stade,l'on sacrifie en son hommage.Dommage.Restez donc avec votre idole cruel,qu'elle est sanglante qu'elle est belle.Tendez lui la patte,il la baisera comme vos confrères au ciel.De vos iris sans fissures je m'éloigne car de finir en pâture je me soigne.

Je suis un nomade je crois,je rêve d'une longue route déserte avec toi.Ca te dit ? Une ballade de quelques milliers de kilomètres à se moquer de l'horizon, lui qui est aussi plat que mon ancienne vie en maison.J'ai besoin d'un pèlerinage le long d'un chemin de goudron en ta compagnie . Promis je ferai aussi attention à ma vie . Aide moi à accomplir mon rêve de petit garçon qui après ces années ne s'est pas fait raison.En plus, tu me connais grand gamin que je suis, quelques pas avec toi et je me sentirai déjà parti.Ca fait déjà trop longtemps que j'imagine sur ses nuages, mon avenir et ses nombreux mirages. Un pas dehors et tu verra, je ne suis pas si malade face à ce monde, je ne veux juste plus compter les secondes.Je ne veux plus rien compter aux yeux de cet univers.A lui je serai fantôme et pour toi,je serai chair.Je serais cher.

J'ai fui, j'ai choisi l'exil, j'ai commis l'irréparable pour justifier mon choix mais la peur m'entrave maintenant. Il est trop tard, beaucoup trop tard, le retour est impossible, j'ai brisé la cuillère d'argent qui m'a nourri depuis si longtemps, j'ai anéanti le droit de vivre en cette royauté et que fais je ici au final ? Je suis dos à des terres qui, si étrangères sont t-elles maintenant, me terrifie de les avoir connu, traversé, foulé de mon pied et percé de mon regard... Si la valeur de la couronne persiste autant ce n'est point pour la bonté de cette famille mais pour sa folie qui affole même l'éclat des joyaux qui l'ornent. A jeter si souvent mon regard en arrière, je vais me trahir par mes propres gestes. Avancez encore et toujours à travers cette forêt, ignorez le bruit alentour des pas qui rôdent, du galopement brut des molosses, du possible de sanglantes représailles.. Pitié que tout s'arrête. Que cette foutue sylve se taise. Je suis si grand dans ce vacarme et ma présence s'assène et résonne à chacun de mes pas, je me rends fou.Ils me rendront fou. Folie furieuse, folie curieuse, où me rends tu ? Pins et cèdres s'entassent au fil de mes pas dégringolant face à la pente, que dis je....Face à la falaise. Il en est donc décidé ainsi, une chute qui promettra nomade euphorie ou échappée macabre.

Quelques ébourrifures au allure de crête dorsal, deux couleurs qui s'inversent pour se compléter, un air de déjà vu à l'allure animal, deux antennes blanches comme l'est la pureté. Et un semblant de conscience au bout de l'arrière train. De toute mon enfance en cette maison, j'ai apprécié la vue du monde dans mon coin. Des nuées de Pokémon éparpillés dans les océans, les cieux et les champs....J'en rêve depuis si longtemps. Mais à l'inverse de mes camarades dresseurs, je ne jurerai mon épopée que par lui car de sa simple présence, il me réchauffe le coeur. Petite peluche que tu demeures sur mon lit, j'ai grand espoir de te voir,  tu n'imagines en rien mon impatience d'aujourd'hui. J'ai retardé mon aventure pour enfin t'avoir, au prix de quelques années de vie.


Le professeur t'a promis à moi. J'espère que le voyage ne t'a ni trop bousculé ou empli de trop d'émoi. Quitter ta brousse et les reflets enivrants de ton point d'eau, même pour une vie de Pokémon cela reste beaucoup. Ne m'en veux pas point, je ne veux pas être un fardeau juste un ami, ne serait-ce qu'un peu fou. Du lac colère donc tu es originaire ? L'on me parle parfois de Pokémon de l'autre région, mais à part toi, tous sont resté dans mon imaginaire. Quel nom douteux pour qualifier la douceur de lac, sa surface doit y être si tumultueuse qu'elle brille de mille feux, peut-être même qu'elle garde un  monarque céleste en son creux. Mais je m'emporte, il y a bien des secrets en ce monde et tant que tu vas bien, ils m'importent peu.

" Assez cherché. D'une place, d'un piètre trône de palais ou de casse, je me suffirait, que l'on m'y emmène que je puisse enfin y perdre la face. Y révolter mes idées endormis de tout cet époque de léthargie, de ces pieds trop sur terre pour fertiliser ma folie, j'en ai assez pour finir mon existence ici, pour m'embraser dans un désespéré éclat de vie. J'en ai assez gardé pour égayer ma personne pendant des décennies, toute ces conneries, cette stupidité maladive qui dérange tant autrui. Liberté illogique je te désire, laisse moi succomber a mes délires, mes instincts, ma non envie de grandir. Je viens, j'accours en entamant ma personne chaque jour, une plaie, une lâcheté confié au palier, un pas de travers, un monde mis de côté, une cicatrice, un balafré, une solitude, un isolé. Seul avec toi, l'on grandira la portée de mes gestes, je resterai le plus marquant des souvenirs. Quitte a retourner ma veste, a me détruire. Quitte a me faire détester. Quitte a mourir. Folie emporte moi, sans toi j'ai peur d'en finir."

" Il y a fort longtemps, je t'appreciais. J'avais pour ta personne l'adoration que l'on donne aux les gens hors du temps, hors des gens, hors du monde. Un Jean inébranlable, un balafré fier et malfait mais fait quand même, une pourriture consommable pour ce qui peuvent encore en savourer le goût. Mais c'était il y a fort longtemps. Et aujourd'hui qu'en est-il ? Les cieux se rient de toi, le dieu même que tu te pensais se rit de toi en ce moment, il te demande où tu en es. Et tu es loin de ces souvenirs. Alors tu as cédé, ouvert ton coeur a celui qui pourrait en prendre en souhaitant que n'arrive nul obstacle, nul fin. Et tu as échoué. Tu as partagé l'essence de ta vie et tu repenses maintenant aux effluves de cet bienveillante mais infidèle action, tu t'es trompé. Tu t'es trompé en te liant, tu as courbé l'échine face a la faiblesse et aujourd'hui encore de ton propre chef tu te blesses. Quel bel enchaînements de sentiments, quel belle preuve de ton humanité. Autrefois, tu portais ta couronne et ça te suffisait alors pourquoi la diviser pour quelqu'un qui ne te la rendra jamais. Je t'aimais bien il y a fort longtemps."

J’ai la réticence de la rencontre, de l’approche. J’associe les tourments passés aux évènements qui se présentent. Dans le doute, je lie la peur et la méfiance, à chaque personne j’ai l’impression de leur faire perdre leur chance. Je suis peureux, renfermé. Les gens méprisables, les survivants, les manipulateurs, les bienfaiteurs, les agonisants,  tous partagent au moins un souvenir commun qui forgent leur personne alors comment savoir à qui faire confiance ? Une bulle de verre où miroite mon reflet, à se vouloir Narcisse et impassable, les regards ne m’effraient plus de leur jugement, ma place elle réveille encore toujours ma phobie éternelle. Que suis-je pour ceux qui me regarderont ? Un boulet, un solitaire, ,un asociable, un retardataire ? L’ignorance est mon arme mais elle se fait timide, elle crisse quand les visages s’esquissent, je ne verrais jamais le bon dans les autres. Alors je me conforte de ma solitude en réécoutant mes souvenirs, qu’ils n’ont pas les mêmes, que je suis loin d’être le pire. Je garde le peu de bonheur que je peux pour moi, pour le peu que j’en vois, à qui puis-je le donner ? Le verra-t-il ? M’entendra-t-il m’exprimer ? Est-ce que lui aussi récite ses souvenirs avec ses compères, se réjouit-il d’avoir les mêmes, de faire parti de cette grande partie du monde qui m’effraie. Je suis sans doute le seul à réciter mes souvenirs seuls alors que le monde entier est ma famille, que le mal qui me ronge vient de là et qu’il s’y soignera alors j’attendrai la main bienveillante et curative, la panacée au bout des doigts, les larmes aux yeux, les bras à accueillir un nouveau né car c’est-ce que je suis. Je le vois mais je ne le connais point, mes parents l’ont forgé comme il m’a forgé alors je t’attends pour me le faire redécouvrir.

vous tous qui poursuivez un but, je me sens vide d’humanité. Transcendez ces pensées jusqu’à la réalité, créer le monde dont on rêve à une parcelle du notre que l’on construit au fil des ans. Grandir comme on le dit. Et toi ? Tu penses avoir grandi ? Ton parcours, tes rencontres ? Vous voir me fait culpabiliser, qui suis-je pour rien n’avoir ? Pas une pointe de passion, d’envie, je ne suis que débarras d’humeur et d’émotions, la joie, la tristesse, tous me transportent sans apporter la solution.  Mes pas ne se sont jamais arrétés…Le serpent se mord la queue et n’a pas la force de la couper alors qu’il s’enroule sans cesse jusqu’à s’étouffer. Ce cycle je m‘en lasse sans m‘y blesser, s‘y détruire ou peu à peu s‘étouffer. Mais j’ai connu un plaisir auprès de toi, un plaisir éphémère qui se diffuse dans notre parcours. Puis-je te l’avouer ? J’ai choisi ton bonheur. Ton rire est un bel écho à mes pas qui se perdent, ton sourire un néant assez douillet pour que je m’y repose alors je te veux comme compagne. C’est ca ma voie, entendre mon cœur faire battre celui d’un autre. Permets moi de t’honorer du peu que je sais faire, je ne demanderai rien en retour, un regard, un peu d’intérêt, une attention à mon existence qui s’accomplira à coté de la tienne. Je suis tienne, c’est ainsi dit, je vais me perdre dans mes pas. Rejoins moi et ris je t’en prie, perds moi là où je grandirais enfin comme il se doit.