[Platine] Pokémon Rébellion Chronicles

Capturer uniquement le premier pokémon rencontré de chaque lieu, une fois l'équipe complète, plus de captures sauf si une place se libère. Pas de doublon.
Tout pokémon KO doit être définitivement stocké dans le PC.
Chaque pokémon aura un surnom.

Longtemps avant la création du premier Pokédex, la région de Sinnoh était sous le régime féodal. Il existait plusieurs fiefs, chacun gouverné par un seigneur local, eux-mêmes gouvernés par leur reine entourée de sa garde personnelle composée de quatre chevaliers. Au sein de cette société il existe deux grandes classes sociales, le peuple, la noblesse puis la milice et les érudits qui sont un peu à part. Chacun se devait de respecter les règles liées à leur rang.

Les gens du peuple, bien qu'ils soient les plus nombreux, étaient les plus désavantagés. Comme tout le monde dans le royaume de Sinnoh, ils avaient le droit d'avoir des pokémons, mais pas plus de six à la fois et ils n'avaient pas accès aux fameuses Noiball contrairement aux nobles. De ce fait s'ils utilisaient leur pokémons pour autre chose que les travaux de la ferme, ceux-ci était capturé ou abattu par la milice. Parmi eux s'est formé un mouvement secret de rébellion qui s'organise dans de nombreux souterrains en attendant le bon moment pour renverser le pouvoir de la reine.

Les nobles, contrairement aux gens du peuple, bénéficient d'un certain nombre de privilèges, notamment celui de pouvoir acheter des Noiball, d'avoir un nombre illimité de pokémon, même s'ils ne peuvent en avoir que six à la fois avec eux. Ils peuvent aussi décider de rejoindre la milice ou les érudit. Ce sont aussi les seuls à avoir le droit de combattre avec leur pokémon et même de défier les seigneurs locaux pour prendre leur terre même si ce genre de duel reste assez rare pour la simple et bonne raison qu'à cette époque tout les combats pokémons se livraient jusqu'à la mort. Quelques nobles adhèrent aussi aux idéaux de la rébellion, mais rare sont ceux qui osent la rejoindre de peur d'être mal accueillis ou dénoncés ce qui signifierait pour eux la peine de mort.

La milice, bien qu'elle soit chargée par la reine de faire régner l'ordre et la paix sur le royaume, fait plutôt figure de force tyrannique. Sous couvert d'expédition punitive contre la rébellion, elle pille les villages et tue sans vergogne sans que personne ne puisse s'opposer à eux, ni le peuple, ni les nobles sans être accusé de soutenir la rébellion. On ignore cependant si cette dernière est au courant de ces agissements vu qu'elle ne quitte jamais son palais.

Pour finir, les érudits ont pour mission de découvrir tout ce qu'il y a à savoir sur les pokémons, ils assurent aussi l'élevage de pokémon destiné à être distribué aux jeunes nobles pour leur dixième anniversaires. Ils sont généralement contre les combats à mort, mais tout comme les nobles, peu d'entre eux se risquent à rejoindre la rébellion. Le plus vieux et le plus sage de tous les érudits est appelé le Professeur, c'est lui qui forme tous les futurs érudits et bien qu'il quitte rarement son laboratoire, personne ne connaît mieux que lui les pokémons.

Leara, 16 ans, originaire de Bonaugure

En réalité personne ne sait exactement d'où elle vient. Ses parents adoptifs l'ont trouvé un beau jour dans un panier aux abords du lac Vérité. Bien qu'ils n'aient jamais caché à Leara les circonstances de son adoption, ils ont jamais non plus chercher à en apprendre plus sur ses origines. Leara a été élevée avec tout l'amour de ses parents, mais en grandissant elle a commencé à se poser des questions. Qui sont mes vrais parents ? Pourquoi m'ont ils abandonné ? Elle gardait cependant toutes ces interrogations pour elle afin de ne pas blesser ses parents adoptifs. Leara espérait un jour pouvoir partir en voyage pour trouver les réponses à ses questions et pour ce faire, elle décida d'en apprendre un maximum sur les combats pokémons. En voyant qu'elle était vraiment douée, ses parents lui parlent de la rébellion qui se prépare. Leara rejoint ce mouvement pour protéger les pokémons et les gens du peuple autant que pour découvrir enfin d'où elle vient.