Projet red M

• Une bestiole ko = mort
• Premier arrivé premier servi
• Pas de règle anti-doublon
• T’est dans la team jusqu’à la mort (bref : bonjour les doubles faiblesse dans la team)

Jour 0- route ?
J’étais dans la voiture, il pleuvait beaucoup dehors, à moitié endormie, je pensais, à notre nouvelle maison, papa l’aurait surement aimé, blanche avec le toit était rouge. Je souris en pensant que peut-être un jour on sera tous les trois ensemble à nouveau et ferma les yeux. Plusieurs heures plus tard ma mère me réveilla, arrêta le véhicule le long de la route et me fi signe de sortir discrètement.
«Écoute chérie, tu dois apporter ce sac au professeur Chen à Bourgpalet de toute urgence. C’est très important de ne pas l’ouvrir avant d’être dans le laboratoire, ils risquent de t’attaquer si tu es seule face à eux.»
Sur ces mots très réconfortants, elle remonta dans la voiture et démarra, me laissant complètement déboussolée, son sac dans ma main, alors que je voyais ma mère disparaitre dans le brouillard de pluie. Elle me disait de retourner sur me pas, retourner à l’endroit que je pensais quitter pour toujours après les récents évènements dans la région. Est-ce qu’elle devenue folle, elle me laissait seul dans un pays en guerre avec pour seule arme un vieux sac à dos contenant quelque chose de potentiellement mortel pour moi, merci du cadeau.

Jour 1-bourg palet- sous la pluie
Arrivée à Bourg Palet je suis allée directement dans le laboratoire, question de se débarrassé vite fait du sac qui semblait contenir plusieurs sphères, des grenades?
« Il y a quelqu’un? Monsieur le professeur » aucune réponse, le laboratoire était plonger dans les ténèbres les plus complètes. « Surtout ne vous montrer pas, je préfère attendre trois heures dans le noir! »
Je posai le sac sur la table de travail en soupirant et alluma la lampe sur le bureau, tout semblait abandonné depuis longtemps. Après plusieurs minutes de recherche dans les locaux déserts du laboratoire, mon regard s’arrêta à nouveau sur le sac, ma mère m’avait demandé de ne pas l’ouvrir, mais c’était le seul indice que j’avais pour savoir ce qui se passait ici. J’ouvris avec précaution la fermeture éclaire, le faible éclairage suffi pour distinguer trois boules rouges et blanches ainsi qu’un paquet de feuilles contenant les notes de ma mère. En fouillant plus profondément je mis la main sur un boitier de métal, un post-it était collé sur le dessus Moedex. Il était fermé avec un cadenas, je le posai donc à côté du sac et sortit les trois sphères, l’une était chaude, l’autre humide et la dernière dégageait une odeur d’herbe coupée. Comme je n’avais aucune idée de ce qu’elles contenaient, je cherchai à les ouvrir, question de savoir quoi faire par la suite. Je commençai par celle qui sentait les herbes puis rabattis mon dévolu sur celle humide sans plus de résultat enfin j’agrippai celle qui dégageait une douce chaleur, j’étais irritée de la tournure des évènements et n’avais plus qu’une envie : tout abandonné. Je projetai violemment les trois sphères contre le mur et me mit a pleurée.

Jour 2 — bourg palet
Je crois que je me suis endormie, je me relevai en secouant la poussière de ma jupe, le soleil montrait timidement ses rayons par la fenêtre fendue. L’incident de la veille me revint en mémoires lorsque je vis les trois mystérieuses sphères dans un coin de la pièce, elles ne semblaient pas avoir subi de dégâts. L’ampoule de la lampe avait brulé, il ne restait donc plus que la lumière de l’aurore qui filtrait dans les fenêtres immaculées de poussières. En inspectant l’endroit je trouvai plusieurs autres sphères semblables a celles que j’avais essayées de brisées hier, m’emparant d’une d’entre elles, j’ouvris la porte du laboratoire et sortit. Assise dans l’herbe brulée, j’examinai la balle sous tous ses angles, le dessous était blanc, le dessus rouge, une ligne de noir séparait ses deux hémisphères et un bouton blanc apparaissait a l’avant, dans la partie noire. Incapable de savoir à quoi servait ce dispositif, je m’amusai à la lancer dans les aires et à la rattraper. Je ne savais pas quoi faire, je devais rejoindre le professeur, mais à priori cette ville avait été abandonnée, je n’avais plus nulle part où aller. Retournant dans le laboratoire, je vidai le sac de toute la paperasse qu’il contenait, je n’avais aucune envie de lire les rapports compliqués et les dossiers parsemés de mots incompréhensibles, je les déposai donc sur une chaise. Ayant repris les balles, je me mis à appuyer sur le bouton pour passer le temps, sans grand résultat. Reprenant le sac, j’ouvris les autres compartiments pour découvrir une paire de gants et une ceinture comprenant six pinces sphériques justes assez grandes pour tenir les balles. J’enfilai les gants et mis la ceinture. Reprenant une sphère pour tester la ceinture, je pressai le bouton par habitude. Une explosion de lumière m’aveugla un instant. Bon bien je n’ai absolument aucune idée de comment c’est arrivé, mais, j’en ai ouvert une!
« Franchement, crois-tu qu’il y ait la moindre chance pour qu’on t’obéisse, après ce que tu nous as fait? Nous ne sommes pas tes jouets, nous avions une vie avant d’être tes cobayes. Tu nous à brisés pour… t’es qui toi? »
Un jeune garçon était sorti de la balle, je n’en revenais pas. Avant d’avoir le temps d’en revenir, il prit le gant et ouvrit les autres balles. Un gamin aux cheveux verts et une fillette avec une queue de lézard en sortirent, le garçon, plus timide se cacha derrière la gamine qui me dévisageait avec curiosité.
« C’est qui, celle-là? Une nouveau Mo, elle est bizarre je n’ai jamais vu quelqu’un comme ça, ils ont changer la formule? »
« Tu crois qu’ils vont nous refaire? Je ne veux pas devenir un échec! »
« Attend une seconde, tu ne serais pas la fille du maitre toi? T’as les mêmes yeux en tout cas, il n’aurait quand même pas fait ça? »
De quoi ils parlaient, ma mère était scientifique ils faisaient probablement une référence, mais quelque chose clochait j’avais les yeux verts et ceux de ma mère étaient noirs. La fille s’était approchée de moi et comme je ne répondais pas à sa question elle fit danser la flamme au bout de sa queue à proximité de mon visage.
« Je t’ai posé une question, tu es quoi ? Si tu ne réponds pas, on testera ton type, il nous donnera une indication sur toi-même si tu pouvais ne pas y survivre. »
Toujours incapable de prononcer un mot, je m’enfuis pour m’enferme dans le laboratoire, j’avais fait ma job j’avais amené les gamins dans une ville en ruine et maintenant je fais quoi, je joue la nounou avec eux.
« C’est quoi ces mioches? Des Mo, de quoi parlaient-ils? »
Je pris les documents et me mis à éplucher les informations. Après plusieurs heures de lecture j’en avais appris plus que ce que je le voulais:
Il y a douze types, un treizième est à venir, mais il tue tous les sujets auxquels on l’expose. Chaque type a ses forces et faiblesse, les Mo ne son pas humains par définition ils en ont simplement l’ADN, vous pouvez donc en disposer comme bon vous semble. Le combat continu jusqu'à la mort ou l’assimilation d’un des Mo. Les Mo ultimes sont défini et ne peuvent pas être assimilé, ils sont listés comme suit : M w, Art un, Za d s, Mo tr s. L der er te t est e cor a l’ es t. Il ’ ap e e a M …
Le bas de la page avait été abimé par la pluie. Mais la dernière page continuait comme suit :
Les deux Mew seront obligatoirement partenaires, ils devraient donc être de sexe opposé et finiront par donner naissance au Mew parfait. Toute autre tentative de création de ce dernier ayant échoué nous espérons obtenir l’arme ultime très bientôt…

Des armes de destructions massives, ces gamins sont des armes de destructions massives. Ç’a y est je suis devenue folle, c’est ça je suis dans un asile attaché à mon lit et j’hallucine. Ce n’est pas possible, tout ça, n’est-ce pas? Des monstres génétiques, créés à partir d’enfants au quels on a retiré tous droits humains. Rien de plus que des armes, froides et sans cœur, qu’on libère au milieu d’une ville morte affin qu’ils déciment l’armée ennemie, même s’ils doivent en mourir. Non, ça n’arrivera pas, j’ai été choisie pour être celle qui les libèrera, mais je n’ai pas eu le choix. Cette fois-ci je fais le chois d’arrêter l’effusion de sang, je ne les laisserais pas ici quitte a les forcés à venir avec moi. Je pris le plus de Moeballe possibles les mis dans le sac avec le moedex, il pourrait me servir, on ne sait, jamais, puis une balle dans chaque main je sortis du laboratoire. La gamine était assise dans l’herbe occupée à faire bruler des feuilles sur sa queue, elle leva les yeux vers moi alors que je lui lançai une balle. La capture se fit sans difficulté alors je me mis à la recherche des garçons.
Alors que je croyais les avoirs perdus, j’aperçus un mouvement dans l’herbe haute, ils ne se cacheront pas longtemps avec moi. Je lançai la balle que j’avais entre les mains pile à l’endroit où l’herbe bougeait et fut récompensée par un flash lumineux. Je m’approchais de l’endroit et récupéra la Moéballe, plus qu’un à récupérer. Quelque chose clochait sur cette route, j’en eus la confirmation lorsque je rencontrai un petit garçon aux cheveux mauves avec une queue de rat…
J’observe les balles depuis plusieurs minutes, l’une d’entre elles renferme une gamine capable de devenir un lance-flamme ambulant, l’autre est un mystère, mais je suis sure d’une chose : je ne veux pas vérifier ce que c’est ! Assise, dans l’herbe près d’un étrange bâtiment rouge je griffonnais, sur un bout de papier.
«M w , Art un , Za d s, Mo tr s.» donc : Mew, et trois autres créatures. Ensuite les lettres sont trop distancées pour en conclure quoi que ce soit, j’entendis un bruissement dans l’herbe, j’aperçus des mèches d’un vert tendre, sans attendre je lui lançai une balle, un flash plus tard j’avais trois créatures. Lorsque je ramassai ma dernière prise, un vieil homme vint me parler.
« Tu ne devrais pas jouer avec ça, petite. Les Moemon ne sont pas des jouets, ils sont dangereux, tu sais? Laisse les-moi, je vais bien m’occupé d’eux.»
Il me regarda avec un drôle d’air, non je n’allais pas les lui remettes. Je serrai les balles contre moi alors que je le fixais d’un air dégouté. Il soupira et sortit une balle de sa poche.
« Tu n’as pas le chois, je vois bien qu’ils te terrifient alors je vais te les prendres, ils seront bien plus utiles avec moi qu’entre tes mains. Tu n’as aucune chance, Aspico utilise dard-venin !»
Un gamin apparut dans mon champ de vision et me fonça dessus, la douleur fut immédiate alors que son aiguillon frontal s’enfonça dans mon bras. Je le frappai jusqu'à ce qu’il tombe au sol sonné. Quelque chose, n’importe quoi, pour me débarrasser de cette horreur, mon regard tomba sur mes balles, cette chose est un insecte non ? J’agrippai la première balle en espérant que ce soit la bonne.
«J’essaie de t’aider alors aide-moi en retour, qui que tu sois! »
Je commençais à voir flou, c’était quoi le nom de cette attaque déjà ? Mes doigts commençaient à s’engourdir alors que j’appuyais sur le bouton de la balle. La lumière sembla moins vive peut-être que la nuit tombait ou que le poison s’attaqua à mon cerveau.
« T’es vraiment pitoyable de t’être fait avoir par ce vermisseau, tu sais? »
Une boule de feu traversa l’endroit et vint s’écraser sur l’insecte sans le moindre bruit, j’avais l’impression que le son avait été coupé, puis un voile noir obscurci ma vision.

Spoiler:

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Jour 3 – centre Pokémon
« Ce n’est pas vrais, t’es vraiment pénible, toi! Tu avais vraiment à te laissé empoisonnée par la plus faible attaque poison qui existe. »
J’étais dans l’étrange bâtiment en briques rouges, il s’agissait donc d’un hôpital. Une aille du bâtiment avait été aménagé pour traité les victimes des combats de moémon ainsi que les survivants de ces combats.
« Elle ne pense pas ce qu’elle dit, elle a remis le vieux à sa place en le traitant de pervers, il a fallu qu’on se mette à deux Camille et moi pour l’empêché d’incendier toute la ville. »
«T’es une sans type non? C’est quoi, ton nom? Que s’est t’il passé pendant que j’étais dans la moéballe? Pourquoi ce monsieur t’a- t'il attaquer? Tu viens d’où? Pourquoi as-tu tout ce matériel de capture avec toi? … »
« Camille arrête de la noyer sous les questions! Ce n’est pas poli. »
Toujours étendue dans mon lit, j’essaie de comprendre, je me doutais bien qu’elles avaient des noms, mais je ne les connaissais pas. Maintenant, je sais que : je n’ai pas rattrapé le gamin, j’ai attrapé une fillette ressemblant à la créature qui m’a attaquée (mais en plus vert), une gamine ailée ainsi qu’un lance-flamme ambulant avec un mauvais caractère. Génial, il ne me manque plus qu’un gamin avec les hormones au plafond pour pouvoir faire une télésérie version jeunesse!
« C’est quoi, un type? Mon nom… Alissa, le vieux voulais vous prendre et j’ai refusée après ça j’ai été attaquée par cet enfant… au début on m’a confié trois balles, deux des Mo se sont échappée… je dois les récupérés. »
« J’imagine que la troisième, c’est Akira, je me trompe? »
« Non absolument pas, le pire dans tout ça c’est qu’elle m’a récupérée uniquement parce que je voulais lui parlée. Elle a beaucoup de mauvaises idées, mais les laisser s’échapper est en tête de liste, je crois. »
Mes pensées étaient toujours difficiles à organisées alors que leur discutions me conduisait aux portes du sommeil…

Spoiler: