Et c'est de beau matin que j'inaugure le premier Nuzlocke Challenge roman du site sur pokémon X! Mais pas qu'un simple Nuz, non, UN NUZ 3/4 BLIND! (Ouai, 3/4 parce que j'ai vite fait regardé les BD déjà faites, donc je connais quelques tout petits trucs, mais ne vous inquiétez pas, je pars quand même dans l'absolument inconnu!)
Les règles:
- Un pokémon KO est un pokémon mort! (Et pas de plans foireux, hein, je me connais bien). - Un seul pokémon capturé par zone, et le premier rencontré (y compris les fossiles, et les pokémons offerts). Si c'est un doublon, tant pis. - Surnoms obligatoires. - Ne pas utiliser le SPV (ce truc est trop cheaté, mais genre un truc de ouf). - Ne pas utiliser la Poké-Récré (ça par contre je sais pas à quoi ça sert, mais je l'interdis quand même ). - Ne pas utiliser le Multi-Exp. - Si le premier pokémon rencontré est une horde, possibilité de fuir et de chercher une nouvelle capture. Sommaire:
la poké récré sert aussi à faire évoli en nymphali. tiens, au passage: est-ce qu'on peut désactiver la poké récré quand on l'a activé? j'en ai marre de voir mon pokémon se balader de droite à gauche quand je cours...
après, la règle que tu pourrais ajouter, c'est: "ne pas utiliser le multi exp", parce que CA c'est cheaté(c'est surtout pour ceux qui ont la flemme de s'entraîner, mais surtout ça tue le jeu, par exemple pour la deuxième arène, le niveau de tes poké est facilement le double de ceux de ton adversaire, pour moi c'est un peu de la triche, c'est trop facile) bonne chance dans le jeu!
même sans le multi exp, on s'en sort largement, pas de soucis. faut juste grinder de temps à autre(c'est ce que j'ai fait dans ma deuxième partie, on profite davantage du jeu au moins)
Maintenant, je vous laisse, et à dans 20 jour pour la prochaine :v
Partie 1:
Un homme courait vers moi. Puis un autre. En fait, ils me poursuivaient. Ils étaient habillés chacun d’un grand manteau noir, et d’un chapeau de la même couleur leur cachant les yeux dans une ombre inquiétante, leur donnant un air effrayant. Ils m’encerclaient, me fusillaient du regard. Que me voulaient-ils ? Je ne leur avais rien fait ! Je ne les avais même jamais vus avant aujourd’hui !
… Aujourd’hui ? Je levai les yeux au ciel. Je n’arrivais pas à savoir si nous étions le soir ou le matin. Plus étrange encore, le soleil côtoyait les étoiles. Mais comment était-ce possible ? Le ciel était bleu foncé, les lampadaires étaient allumés, tout coordonnait pour assuré que l’on soit le soir, voir la nuit. Le soleil ne pouvait alors faire partie du décor…
Je ne savais même pas où je me trouvais, à force de courir pour échapper à mes agresseurs. Je regardai cette fois autour de moi. L’endroit où je me tenais semblait être une grande place ronde, mais elle était vide. J’entendais les talons de mes chaussures claquer sur les dalles beiges du sol, rendant un son plutôt léger, assez réconfortant. Cette place était interminable, infinie. J’avais beau courir le plus loin possible, je ne la quittais jamais, comme si le sol se rallongeait à mesure que j’avançais. Je me retournai en tremblant, et constatai avec horreur qu’ils me suivaient encore. J’étais perdue, harcelée par deux hommes effrayants, et épuisée. Il fallait que je réagisse. Je ne pouvais pas continuer à subir. D’un coup, je m’arrêtai de courir, les deux hommes aussi. Et il restait planté là, me fixant comme ils savaient si bien le faire ; on aurait dit qu’ils attendaient que je réagisse la première. Je fis un pas vers eux. Eux aussi. J’en fis un autre, ils m’imitèrent. Je tremblais, j’étais terrifiée, je n’osais plus avancer, mon audace s’était évaporée d’un coup. Qu’allaient-ils me faire ? Je ne pouvais qu’attendre pour le découvrir. Puis, ils s’avancèrent. Lentement, puis leurs pas s’accélèrent. J’avais tellement peur que je ne pouvais plus bouger, mon cerveau me disait de fuir, mes jambes ne me répondaient pas.
Et ils passèrent à l’action. Un des deux s’avança, se planta quelques secondes devant moi, puis me donna un coup de poing dans le ventre. J’aurais voulu crier de douleur, mais je ne pouvais plus respirer. Mon souffle était court. A genou, recroquevillée sur moi-même, les bras entourant mon ventre douloureux, je tentai tant bien que mal de retrouver ma respiration. Mais ils ne me laissaient pas de répit. Le deuxième me donna un coup de poing au visage, je saignais alors du nez. Et ils se mirent à me ruer de coups, plus douloureux les uns que les autres. J’entendais mes côtes craquer, se renfoncer, ma vue se troublait. J’allais mourir. Aujourd’hui, ce soir ou cette nuit. C’était difficile à croire… Mais j’allais mourir. Soudain, je ressentis quelque chose d’intense. Comme si quelqu’un venait de me transpercer avec un couteau. Je hurlais, et hurlais encore. Les deux hommes me secouaient, et me secouaient encore. Puis, j’entendis l’un deux prononcer quelque chose. Quelque chose qui ressemblait à…
-SLY !!!
-AH !
J’eu un sursaut et tombai lamentablement de mon lit. Etalée par terre, la tête dans le tapis, et à peine réveillée, je fixais les pieds de ma table de chevet, sans pouvoir faire un seule geste, tellement la fatigue me prenait. Je ne comprenais plus rien.
-Sly, ça va ? J’ai envoyé Passerouge pour te réveiller, puis tu t’es mise à crier comme si on égorgeait un Groret.
Encore par terre, je restais quelques secondes silencieuse, et après avoir repris mes idées en place, je lui répondis « Ouai, ça va, j’ai du faire un sale cauchemar… ». Puis, lentement, je me relevai pour m’assoir en tailleur sur le sol, et sentis une douleur vive sur mes côtes. Je soulevai légèrement mon haut de pyjama, pendant que ma mère ouvrait mes volets blancs dans un grincement métallique, et découvrai avec stupeur un énorme bleu. Mais qu’est ce que j’avais pu faire pour… Oh. Je vois. Passerouge. Cela faisait un mois qu’il vivait avec nous, et un mois qu’il ne cessait de m’agresser. Je ne savais pas ce que je lui avais fait, mais il me faisait la guerre, et moi aussi en retour.
Lorsque je lui lançai un regard noir, il se mit à chantonner après s’être posé sur l’épaule de ma mère. Elle, elle le défendait toujours, quelle que soit la cause… pfieu.
Elle se dirigea vers l’escalier, et posa sa main sur la rambarde. Je remarquai alors la classe et la beauté qu’elle avait, on aurait dit un de ces magnifiques mannequins de l’hexagone que l’on voyait si souvent à la télé. Elle dégageait une telle grâce, comme si la chaude lumière du soleil venant d’inonder ma chambre pouvait révéler ces petits choses dont j’avais oublié depuis longtemps l’existence. Elle me dit alors, avant de descendre :
- Ton père a appelé (je fronçai les sourcils : je détestais quand elle qualifiait Augustin comme mon père), il souhaite que vous le rejoignez à Illumis, Silver et toi. Allez, habille-toi feignasse ! Merci, moi aussi je t’aime maman…
Je me levai alors, bien que l’envie n’y fût pas, et me postai devant le miroir. Encore mal réveillée, le regard flou, je me frottai longuement les yeux. Puis, après avoir longuement fixer, tel un zombie, une mèche rebelle de mes cheveux, mon regard se décala. Il se posa sur un tableau, enfin, une photo plutôt, encadrée sur le mur au dessus de l’escalier. Ma mère, assise sur son fidèle Rhinocorne, soulevai un énorme trophée couleur or, où je pouvais deviner, même si le miroir rendait l’inscription à l’envers, qu’il était gravé « Primula ».
Ma mère avait capturé un Rhinocorne, pendant notre voyage à Kanto, au safari de Parmanie. Elle avait découvert par la suite l’univers des courses de Rhinocornes, où elle avait percé une vraie carrière ! Elle est même devenue la championne imbattable de Johto et Kanto ! Puis, elle avait rencontré Augustin, alors qu’il était en voyage dans notre région, lorsque nous étions allées rendre visite au professeur Orme. Un bel homme, il était vrai. Ils étaient tombés sous le charme, et s’étaient même fiancés. Il avait vécu avec nous dans notre petit bled paumé de Bourg-Géon –avec passerouge -, puis nous avions finalement déménagé quelques mois plus tard, car il habitait ici, dans la région de Kalos, et y travaillait. Il y a deux jours, exactement.
J’enfilai rapidement ma tenue fétiche, un débardeur noir accompagnée d’une jupe haute, rouge, et mon canotier de la même couleur, avec lequel je suis inséparable. Puis je me dirigeai vers ma table de chevet, et attrapai mon holokit, une sorte de pokématos, mais avec un hologramme. Kalos était une région très avancée question technologie. *Clic*
-Professeur ?
Orme. Son hologramme bleuté parut flou au début, mais l’image s’améliora ensuite. Son éternel chemise blanche sur les épaules, il me répondit.
-Ha, Sly ! J’attendais ton appel ! Le déménagement s’est bien passé ?
-Très bien. Il reste encore quelques cartons dans le salon, mais sinon on a eu le temps de tout installer en 2 jours.
Il hocha la tête dans un sourire presque forcé « Tant mieux. »
-Ils vont bien ?
Il fronça les sourcils, mais l’incompréhension le quitta la seconde d’après « Tes pokémons ? Oui, très bien, ils sont pour l’instant dans le parc. C’est gentil à toi et à ton frère de me les avoir laissés pour mes recherches. »
-Pas de quoi !
Il m’adressa un sourire, avant de se retourner précipitamment. J’avais moi aussi pu entendre distinctement le bruit d’une sorte d’explosion.
-Désolé Sly, je dois te laissé, j’ai un problème avec les circuits ! Passe le bonjour à ta famille de ma part !
-Comp-… tez sur moi…
Il avait raccroché avant même que je ne puisse répondre. J’espérai que ce ne soit pas très grave, puis alla rejoindre ma mère dans le salon, après avoir attrapé mon sac. Lorsque je descendai les escaliers, d’un coup, l’espace parut beaucoup plus vide. … Tiens ? Pas d’insultes, pas de moqueries, pas de blagues vaseuses ? Bizarre.
-Silver n’est pas là ?
Elle me répondit après avoir rangé une pile d’assiette dans le placard, et ouvert le robinet dans un couinement. « Non, il est partit faire des courses dans la ville d’à côté. » Je m’étonnai : « Si tôt ? ». Elle émit un léger rire. « Il est déjà midi, tu sais. Tu as dormi comme un Ronflex ! ».
Ah ? Je ne m’en étais pas du tout rendu compte… « Tiens, ton p’tit dèj’. » Je pris à la volée le pain au chocolat qu’elle me lança, et croquai dedans comme la forte mâchoire d’un Crocorible se refermant sur sa pauvre proie.
Je posai ma main sur la poignée de la porte « Je vais chercher Silver, pour qu’on y aille. » Je fermai la porte derrière moi, laissant sûrement ma mère dans le silence ténébreux de notre nouvelle maison, avec Passerouge.
Lorsque je me retournai, je m’arrêtai soudain, à la vue des deux personnes qui se tenaient là. Silver, portant deux sacs en plastiques contenant sûrement les courses, et… Une fille. Je levai un sourcil.
-Alors, pionceuse, tu t’es enfin réveillée ?
Ah, cela m’avait presque manqué.
« Comme tu le vois. » Je ne détournai pas le regard de cette inconnue aux longues couettes brunes et à l’habit très… rose.
-J’te présente Sannah. Elle habite à Quarellis.
Mes oreilles sifflèrent d’un coup, alors qu’elle commença à parler. « Hihi !!! <3 <3 Bienvenue ! ». Argh… Quelle voie suraigüe et agaçante…
« Tu as une chance incroyable, je suis venue rien que pour toi ! <3 » Ah ? On n’avait pas la même définition de la chance alors… Silver prit la parole :
-Le professeur pokémon de Kalos a une mission à confier à cinq enfants de la région, comme tu le sais déjà. Je ne comprends pas pourquoi il veut t’inclure, mais bon… Tu es si nul…
Je levai les yeux au ciel. « Toujours aussi aimable à ce que je vois… Mais au cas où tu aurais la mémoire courte… Tu n’as jamais réussit à me battre durant un combat… Et puis, je suis quand même la maîtresse pokémon de Johto… » Je vu que je lui avais fait ravaler sa petite fierté, lorsqu’il détourna le regard vers la droite dans un « pfff … » reconnaissable. L’agaçante s’exclama :
-La championne de Johto ? Enorme ! Dans ce cas tu dois être super forte !
Je posai une main sur une hanche, et regardai les ongles de mon autre main, en, disons-le, me la crânant un peu « Bien sûr… ».
-Oh, regardez l’heure ! On va être en retard ! Rejoins-nous à Quarellis, c’est juste à côté ! On va y recevoir des pokémons ! Hihi !!! <3
Je soupirai en une certaine joie quand elle partit en sautillant. Nous n’étions pas du même monde… Son innocence et sa stupidité incessante me donnait presque envie de vomir… Elle ne connaissait rien au monde qui l’entourait, les catastrophes qu’il pourrait se passer. Les voyages pokémons, ce n’était pas aussi facile que ça en avait l’air, elle ne s’en rendait pas compte. Elle pensait que c’était un jeu, mais loin de là. Une minute d’inattention, même, une fraction de seconde, et là, le drame. J’avais presque pitié. Mais au fond, elle me rappelait moi, quand j’avais reçu un minuscule Héricendre, il y a longtemps…
Je secouai la tête, comme si cela pourrait empêcher des centaines de souvenirs, bons ou mauvais, de revenir à la surface.
Après avoir déposé ses fardeaux dans notre cuisine, Silver partit lui aussi rejoindre les « autres ». Alors que je le suivais du regard, je me demandais quel était la « mission » que l’on nous avait donnée. C’était si soudain… Je sortais de chez moi pour me balader quand mon frère et une fille que je ne connaissais absolument pas vinrent me dire que l’on devait effectuer une certaine mission, et pouf, j’allais recevoir un pokémon. Mais qu’est ce qui ne tournait pas rond ici ?
Ba, je faisais mon ignorante mais j’étais quand même un peu au courant, je savais que le professeur Platane allait nous offrir des pokémons, à mon frère et moi, et quelques autres petits gamins du coin. Mais après, pour faire quoi, cela restait un mystère. Un voyage, sûrement, mais pas que ça. Enfin, j’espérais.
Je me dirigeais d’un pas lent vers la sortie de la ville, blasée. La grande porte bleue s’ouvrit juste devant moi, comme par magie, sans que je n’eusse rien fait. Quand je disais que Kalos était axée technologie, j’avais raison. Ce n’était pas à Bourg-Croquis qu’on allait nous mettre un portail qui s’ouvrait tout seul.
La route ne fut pas bien longue, à peine quelques secondes et j’étais arrivée à destination, passant sous l’arceau de pierre brune.
Quarellis. Cela semblait une petite ville tranquille, dont le café prenait une bonne partie de ses activités, et de l’espace.
Alors que j’allais descendre les escaliers pour aller sur la place, et sa gracieuse fontaine, une voix familière m’interpella derrière moi. Je me retournai et découvrai Sannah et Silver, attablés à la terrasse du café avec deux autres personnes. Ils me firent signe de venir, ce que je fis, en m’asseyant à leur côté.
-Bon, c’est l’heure des présentations, commença Silver. Je vous présente Sly, ma sœur. Voici Tierno, désigna t-il en le regardant, un fan de musique et de danse. Il tourna la tête : Et voici Trovato... Un intello, quoi.
-J’suis trop content de te rencontré, Sly ! s’écria Tierno.
-Ravie de te rencontrer. Avoir la championne de Johto à nos côtés est un véritable honneur, me gratifia Trovato.
Je restais silencieuse, ils me soûlaient déjà. Des copies parfaites de Sannah. A part Trovato, il avait l’air d’avoir un cerveau comparé aux deux autres.
-Et si on se donnait des surnoms, pour briser la glace ? Pour toi, Miss S serait pas mal.
Déjà, c’était une mauvaise idée, je détestais qu’on me donne des surnoms ridicules. Ensuite, je ne savais pas où il allait chercher ses surnoms, mais ils étaient bien pourris. Un cri vint soudain me déchirer les tympans. Ah non, c’était encore Sannah qui parlait….
-N’importe quoi ! C’est moche ! C’est p’tite S qu’il faut ! Pas vrai Trovato ?
Encore pire que le précédent… Je n’avais qu’une envie, me barrer d’ici, loin de cette bande de fou… Le pauvre sursauta.
-Sannah, n’essaie pas de me faire prendre partit… Je reste en dehors de cette discussion… Et… Vous voulez utiliser des surnoms alors que nous venons juste de nous rencontré ?
Ouf, enfin quelqu’un avec un peu de raison. Merci Trov’.
-Même si… Dame S conviendrait parfaitement.
Non ! Pas toi ! Aaaah… A l’aide… Silver, fait quelque chose, je t’en prie… Je tournai mon regard en sa direction, comme un message de détresse.
-Et si on laissait Sly choisir elle-même ?
Quoi ?! Non. Et puis quoi encore, c’était moi qui devais choisir l’objet de ma souffrance ? Pfieu. Je pris le premier truc qui me passait à l’esprit. Je répondis d'un ton sec et froid, plus rauque que je l'aurais voulu.
-Sisi.
-Sisi ? Ok, ça marche ! On t’appellera comme ça à partir de maintenant ! Je veux qu’on devienne les meilleures amies du monde !
Ah ? Ca tombait bien parce que… Pas moi. Je fis un regard noir à Silver, qui pouffait de rire dans sa main. Je ne le lâchais pas du regard, jusqu’à ce que Tierno reprit la parole.
-Maintenant, voici ce pour quoi vous êtes venu ! Je suis sûre que ça va être un festival d’émotion pour vous, exactement comme pour Trov’ et moi !
Il déposa une boîte cylindrique que la petite table de café. Elle était violette, ornée de bandes dorées, et laissait découvrir 3 pokéballs.
3 pokémons inconnus. Et derrière ces pokémons se cachait une nouvelle aventure. Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas voyagé. Cela m’avait manqué. Beaucoup trop.
Je dirigeai ma main vers une des trois pokéballs.
Vers mon nouveau compagnon.
Vers un extraordinaire voyage, dans une région inconnue.
c'est bien! malgré quelques fautes, dont une que je ne peux m'empêcher de corriger : "qu'importe soit la cause" ne se dit pas, on dit tout simplement "quelle que soit la cause" ou 'qu'importe la cause". "merci, moi aussi je t'aime maman" lol, tout à fait le genre d'humour que j'aime! au fait, je crois qu'il y a un e à parmanie... et comment faire apparaître dans une conversation des <3? mdr " Ce n’était à Bourg-Croquis" manque un "pas" je crois....
c'est très bien d'avoir remplacé l'autre héros par Silver, ça fait une continuité avec ton nuz sur johto. mais quel horrible cliffhanger!!! qui as tu donc pris?
au fait, as tu fini le roman nuz sur blanc 2? *très au courant*