Allen-Kune
Dresseur
Nature : Discret
Niveau : 25
Exp : 52
Pas de badges gagnés.
| Sujet: Re: [Ultra-Soleil] Croc d'Acier Mar 29 Mar 2022 - 12:04 | |
| - Chapitre 16:
Un autre fugitif arrêter, une autre mission d’accomplie. Ce n’était plus à se stades les premières, et Bray avait l’impression de tomber dans une routine lassante. C’était révoltant de voir que se genre de chose devenait facilement normale, mais le brun était trop lasser pour se sentir honteux ou dégoutter.
C’était peut être à cause de ses antis-douleurs que Kahiki lui demander encore de prendre, sa peau maintenant réparer mais les muscles encore douloureux d’une brûlure fantôme que l’homme avait l’impression de sentir même dans ses rêves.
Le principale était qu’il avançait lentement vers son objectif, et sa vengeance. Plus il travaillait pour les Keikō, plus il pouvait se rapprocher des Valesti. Alors Bray se moquer de cette routine et l’accepter à bras ouvert. Chaque matin commencer par avaler ses médicaments et s’habiller, attendant d’être appeler dans sa chambre ou s’entraînant avec ses pokémons.
Une petit voix lui soufflait qu’il commençait à juste se satisfaire d’être presque une ombre de lui même, et de pouvoir exister en voyant son esprit généralement occuper par autre chose que ses propres pensées.
Chaque visage disparaissaient une fois attraper, des menottes aux mains et les menant sans doute vers un purgatoire personnelle, qu’importe se que Kotetsu ou l’héritier Alycien Keikō leur réservé. Le brun pensait de toute manières qu’ils méritaient d’être puni.
C’était une femme cette fois, qui vivait reculer sur les cotes. Le plus dure à était de ne pas être déçu de la facilité de l’affrontement. Elle pensait sans doute que personne ne viendrait dans un coin si reculer, ou que son équipe serait assez forte pour lutter. On ne pouvait pas se tromper plus qu’elle.
Un nosferalto et un tritox ne faisait pas le poids contre Lono. Même Mauna en tant que candice n’aurait eu aucun mal à s’occuper d’eux. C’était décevant d’avoir fait autant de route pour que la femme soit juste menotté et déjà prête à être emmener pour régler ses dettes d’une manière ou d’une autre.
Bray ne savais pas vraiment comment ils pouvaient rembourser leur dette, mais cela ne servait à rien de poser se genre de question. Ils pourraient tout aussi bien participer à des combats illégales ou être vendu que cela ne changerait rien à sa mission ou a son objectif. Ils recevaient se qu’ils mérités sans doute pour être de mauvais payeur. Paula n’aimerait sans doute pas ça, mais elle n’était plus là, et Bray se refuser de penser à elle en mission. Ou même de pensée à elle tout court, espérant qu’elle était plus heureuse là-haut, qu’avec se qu’il était devenu.
Son regard se détourna un instant de la femme, observant la petite maison qu’il avait dut pénétrer de force. Étrangement la femme n’avais pas sembler vouloir le suivre sans se battre, mais le peu d’agitation qu’il avait fait n’avais pas déranger la maison plus qu’elle ne l’était.
C’était petit et mal entretenu. Le mur avait un papier peint vieux qui se décoller, la couleur verte en partie tacher par des taches d’humidités ou de moisissures. Les meubles étaient peu présent et recouvert de différent objets, pour la plupart des journaux et des boites de médicaments.
Un petit meuble dans l’entré avait été casser lors du combat, mais il semblait juste avoir naturellement sa place ainsi dans le fouillis de la maison. Bray était sur d’y avoir vue au moins une seringue usager tomber des piles qui surmonter chaque meuble.
La femme devait avoir plusieurs dépendance, qui marquait son visage de cernes et d’un tic désagréable qui faisait trembler sa lèvre. C’était navrant de voir comment quelqu’un pouvait tomber aussi bas par la drogue et les médicaments.
C’était presque triste de voir quelqu’un tomber si bas qu’il ne puisse plus se contrôler ou réfléchir sereinement. Bray espérait que lui-même ne tomberait jamais si bas volontairement, mais l’idée de perdre le contrôle faisait battre nerveusement le cœur du jeune homme.
Mieux valait ne pas pensé à ça.
Le regard de Bray fini par se poser sur un prospectus déchirer, malmener à coté de la télévision qui tenait par miracle sur une table-basse avec un pied casser remplacer par plusieurs magasines publicitaires. Il devrait renter, une équipe était en route pour aller le chercher rapidement par les airs. Mais le brun voyait sa curiosité piquer par se bout de papier au milieu de notice médicale et d’un paquet de biscuit salé bon marché et d’un tas de canette de bière vide.
Le papier était coloré, vif avec le dessin d’un stade et de plusieurs pokémons. Le tournois de KoniKoni avait commencer, les qualifications finis et invitant les curieux à réserver leur place pour les matches ou a suivre les combats sur la chaîne locale.
Bray sentie sa gorge se nouer, l’impression de suffoquer alors que sa main serrait nerveusement le papier, laissant son bandage se serrait autours de sa paume.
Deux mois étaient déjà passer ?
Bray avait l’impression que tout était passer si lentement. Il y a encore deux mois tout était normale et parfait. Il y a deux mois il avait hâte d’être aujourd’hui, de pouvoir revoir Chihiro et de combattre de nouveau de nombreux adversaire. Et pourtant maintenant il était juste … un homme brûlait qui se cachait sous des bandages, effrayant même des sbires de la mafia.
Il était descendu bien bas. L’envie douloureuse de la revoir était encore là pourtant, et Bray déchira le prospectus. A quoi bon vouloir la revoir ? Bray n’avais pas besoin de se voir dans un miroir pour voir l’étendu des dégâts.
Il n’avais qu’à voir comment on l’observait. Kotetsu était le seul qui ne changeait pas de regard, que Bray ne voyait ni pitié, ni dégoût à chaque fois qu’il apparaissait au bout du couloir. Même Evelinne, ou un autre de ses larbins avait été surprit et la jeune femme semblait trop ailleurs pour l’observait réellement mais parfois une curiosité malsaine fleurissait dans son unique œil violet visible. Combien de fois il avait fait peur au personnels de l’hôtel ? Combien de fois lors des entraînements il avait gagner contre des adversaires qui n’osait pas le toucher, comme si ses blessures pouvaient les contaminer.
La personne la plus proche d’une compagnie, en-dehors de ses pokémons, était Kotetsu, l’homme semblant bien l’aimer au risque d’attiser la jalousie de certain de ses collègues.
Cela ne servait à rien de vouloir la revoir. Bray s’en persuadait, rentrant dans sa chambre après avoir déposer la mauvaise payeuse à l’un des gars qui travaillait pour Kotetsu. Même ses hommes et femmes qui le connaissait depuis deux mois n’osait que rarement l’observait dans les yeux, leur regard ne pouvait se détourner de ses bandages et des rares morceaux de chaire rouge qui dépasser, sous son œil gauche ou parfois quand les bandages de ses doigts glissaient et devenait lâche.
Il ne voulait pas voir se qu’il avait perdu, il se le refusait en se couchant se soir là, l’envie de crier dans son oreiller si forte alors que ses doigts serraient et gratter les rares bouts de peau à l’air libre.Alors pourquoi se sentait-il obliger d’allumer la télévision le lendemain, attendant de voir le premier match commencer sur la chaîne locale avec cette douleur dans son ventre et cette appréhension ?
Lono était à coté de lui comme toujours, le pokémon le laissant rarement seul de toutes manières. L’oiseau avait bien trop peur de voir son dresseur disparaître sans la moindre présence pour l’ancré dans la réalité.
Cela n’aidait pas autant qu’il aurait aimé, laisser Bray douloureux et tendu. Pourquoi tant de peur ?
Il ne le savais pas, mordant sa lèvre en espérant ne pas la voir, se soulageant de ne pas avoir tant raté de sa vie d’autrefois. Le programme commencer par un hommage au victime du dernier tournois, rassurant visiblement le publique mais pour Bray cela ne rendait les choses que plus pénibles. Tant de visage défiler, sans doute pas ordre chronologique alors que leur nom était dit à haute voix avec une petite phrases bateaux sur leur "grandeur".
Puis le visage souriant de Paula apparut, son nom résonnant étrangement à ses oreilles. Il avait tellement peur de perdre la tête et d’oublier son visage. Que se passerait-il quand il ne reconnaîtrait plus ses beaux yeux bleus ? Bray avait peur d’être trop casser pour garder ses souvenirs, et l’horreur de ne même plus se souvenir d’elle le terrifier presque autant que les cris qu’il entendait parfois dans les flammes de ses rêves.
Il avait presque oublier que c’était les siens.
Pourquoi tout cela avait dut arriver ? Pourquoi sa vie avait été détruire en un instant, sans aucune autre raison qu’une suite de malchance et d’avoir trop briller dans l’un des moments les plus heureux de sa vie.
Le dernier visage fut celui qui manquant de provoquer le départ de Bray, ses doigts se serrant autour de la télécommande à l’appel de son propre prénom. Ses yeux noirs semblables aux siens observaient la caméra, souriant timidement. Ses doigts se tenait désespérément à la télécommande, résistant à l’envie d’éteindre la télévision. Bray devait aller jusqu’au bout. Même si la haine et la peur semblait battre en lui. Cette pensée de l’avais pas quitter depuis qu’il était renter.
Lono s’agita à coté de lui, se préparant sans doute à voir son dresseur s’écrouler une nouvelle fois.
Ses bandages semblaient soudainement étouffant, leur protection laissant place à l’impression d’être enfermé. Il avait presque l’impression d’être malade de la vie d’un autre. Qu’un parfait inconnu le rendait malade de jalousie alors que lui n’avais rien et que cette inconnu sans visage avait tout eu.
Il détestait cet homme.
Il se haïssait.
Il aurait voulu ne jamais connaître cet homme, cet inconnu qui portait un visage qu’il ne reconnaissait plus.
Braiden était mort, il aurait dut être mort, brûler et jetait dans le feu du tourment au lieu de sa petite sœur, sa si précieuse petite sœur. Paula n’avais pas mérité ça, elle aurait dut vivre, elle aurait dut être celle qui se tenait devant la télévision, la vie devant elle alors qu’elle était épaulé par ses pokémons et Chihiro.
Pourtant sa bouche fut soudainement sèche alors que le commentateur parlait enfin et que les dresseurs arrivaient sur le terrain, une vue en drone présentant les concourants du jour. Il pouvait reconnaître cette femme avec ses longs cheveux verts hirsutes, ses yeux rêveurs qui semblaient tout voir, cette robe sans manche verte avec ses imprimés florales. Ses bottes hautes à lacer et un collant déchiré noir.
Chihiro.
Elle semblait aller bien, souriant à la caméra.
Est-qu’elle avait pensée à lui ? Peut être qu’il lui manquer, Bray avait envie d’y croire mais cela lui faisait mal. Pourquoi sa poitrine devenait si douloureuse, alors que sa respiration devenait folle sans la moindre raison. Il avait envie d’être là avec elle.
Mais c’était impossible. Elle n’avais été qu’avec lui, un homme qui lui ressemblait et qui avait tout. Elle semblait aller bien, mais deux mois avaient passer. En deux mois quelqu’un de normale pouvait se reconstruire non ? Elle souriait poliment aux téléspectateurs, avouant à l’organisateur qu’elle ne pouvait pas perdre, offrant cette victoire à deux des disparut qui lui tenait à coeur et aurait dut être là et sans doute gagner.
Bray sursauta quand la télévision s’éteignit, la télécommande arracher par son pokémon. Il n’avais pas remarquait mais il était en pleine crise de panique. Ses yeux devenaient flous sous les larmes.
Ses mains tremblaient, laissant le jeune homme à bout de souffle. Bray ne pouvait pas, il ne pouvait pas les revoir, il ne pouvait pas les affronter. C’était du passer, et maintenant cela lui semblait être la vie d’un parfait inconnu, qui avait connu les mêmes personnes que lui.
Il devait abandonné ses souvenirs douloureux, et se concentrer sur la seule chose qui le poussait à avancer. Lono déployais ses ailes doucement, lui offrant un abri alors que ses joues devenaient humides.
Cela ne servait à rien de pensée à eux, à comment se trio avait été heureux et qui avaient eut la vie devant eux. Bray les détester. Ses doigts griffaient nerveusement son visage et une partie de ses bandages, ses jambes se repliant lentement contre son torse malgré que les différents tissus qui limité ses mouvements.
Pourquoi le monde semblait s’écrouler une seconde fois ? Il n’aurais jamais dut vouloir la revoir, encore moins les revoir. Il n’aurait jamais dut trouver se papier chez cette femme, et laisser sa curiosité le pousser à voir ça. Les plumes de Lono contre lui n’arrivait pas à le calmer de nouveau, malgré que son pokémon faisait tout pour être à ses cotés, malgré ses changements.
Quelqu’un tapa à la porte, laissait l’un des sbires du clan ouvrir la porte de sa chambre sous l’absence de réponse et s’immobiliser presque d’horreur. Bray devait être quelque chose à voir, replier sur lui même dans une crise de panique, une partie de ses bandages tirés sous ses auto-mutilations, ses yeux fixant haineux l’homme qui l’avais surprit dans cet état de faiblesse.
Lono était contre lui, ses ailes dépliaient et soudainement il se redresser, prêt à attaquer la personne qui avait oser les déranger. Entre le regard glaçant de Bray et son pokémon prêt à attaquer, le sbire avait toutes les raisons
L’homme babilla qu’il était attendu dans les bureaux, une nouvelle mission urgente l’attendant.
Normalement il avait toujours au moins deux jours de repos avant de devoir repartir, mais cela lui allait très bien. Il avait besoin de pensée à autre chose et de laisser le stress et l’angoisse quitter ses muscles. Ses affaires étaient toujours prête, et il voyait Evelinne lui offrir sa mission. La rousse était comme toujours assez lunaire, souriant sans raison en feuilletant les notes de mission. Avec sa tenu professionnel toujours mise à la hâte, sa chemise laissant ses épaules et une partie de sa poitrine nue malgré un nœud noir autour de son cou, une grosse mèche de ses cheveux rouges couvraient la partie droite de son visage, laissant juste un œil visible grâce à un ruban qui tenait difficilement sa mèche de cheveux.
Il n’était pas là pour juger le physique d’une secretaire, écoutant que sa cible était chez elle, replier dans sa maison à Konikoni avec ses pokémons et qu’elle avait blesser un homme venu l’appréhender. Bien, visiblement il allait avoir de l’action.
Bray ignora les yeux qui ne cessaient de l’observait, heureux de voir qu’une voiture l’attendait et que d’ici peu il serait bien loin des pensées qui continuait de le hanté.
Son passé ne lui appartenait plus, cela ne devrait plus le hanté. Il avait l’impression de l’avoir perdu des l’instant où son monde s’est embraser. Il avait l’impression d’être une tasse brisé, et même si maintenant il semblait n’endurer aucun choc, la fêlure qu’il avait reçu continuerait de perdre le liquide qu’avait contenu à jamais.
De perdre se qu’il avait renfermé, se qui avait fait de lui l’homme qu’il avait vu à la télévision.
Le principale était la mission se répéta Bray en se dirigeant vers la maison du mauvais payeur, ne prenant pas le temps de toquer à la porte, Mauna défonçant la porte avec un puissant coup de pied. Le reste était habituel, l’homme sortant un armaldo rapidement et un farfuret, et ses pokémons les battaient sans mal.
Mais les choses changèrent quand l’homme sortie une arme blanche, visiblement la même qui avait poser problème à son collègue. Bray pensait pouvoir le maîtriser, mais le couteau avait tout changer. Mauna n’avais pas le temps d’agir que l’homme s’était retourner, coupant Bray dans l’action.
L’arme visait à l’aveugle, finissant sa course dangereuse dans le ventre du brun.
Bray s’arrêta un instant quand le couteau réussit à traversé la couche de bandage, ouvrant la peau et laissant s’écouler quelques gouttes de sangs sur le linge blanc. C’était surprenant comme sensation, et son esprit semblait réaliser la blessure qu’une fois l’arme figer en lui.
La douleur montait doucement, mais c’était agréable. Enfin Bray ne voulait pas pensée ainsi mais, après autant de temps passer sous des médicaments forts, et avec la perte de sensation d’une partie de son corps, la douleur semblait presque nouvelle, se glissant en affolant certain de ses sens. Bray avait l’impression de ne pas être là, toute la partie brûlé de son corps plonger dans une impression de coton. Mais la douleur était là, comme un pincement étrange et intriguant.
La sensation était vraiment étrange mais pas si désagréable qu’il ne l’aurait cru, chaude et douce alors que certain bandages glissaient. Peut être que c’était étrange, mais sa tête semblait sereine maintenant, presque normale. Il avait enfin quelque chose sur lequel se concentrer qui ne lui donner pas l’impression d’étouffer.
L’adrénaline déjà forte semblait rendre cette sensation plus merveilleuse, laissant le brun s’enfoncer s’avantage contre la lame. Il n’avais pas peur d’avoir mal et de souffrir, et la douleur semblait bienvenu alors qu’il irradiait en lui comme un simple songe. Il aurait presque put sourire que ses nerfs devaient sans doute être foutu, a moins que se soit les antidouleurs qui laisser le couteau plonger en lui sans en être troubler.
L’homme recula surprit de voir Bray se rapprochait, peu déranger par la lame qui lui déchirer le ventre et souriant alors que ses mains serraient les poignets de l’homme, laissant l’homme lâchait l’arme et Bray le plaquer contre le sol, peu soucieux d’entendre le nez de l’homme craquer contre le sol.
Une nouvelle mission de fini, le laissant rentrer avec sa cible menotter pour toucher une récompense et un salaire qui ne l’intéressait pas. Le couteau fut retirait nonchalamment, peu inquiet du sang qui coulait sur son t-shirt et son pantalon. La sensation était agréable a force, agitant ses nerfs et laissant Bray se sentir un peu vivant grâce à ça.
Il ne fut pas vraiment surprit de voir que Kahiki était là, prête à le soigner et à recoudre la plaie qu’il avait. Cela ne servait à rien de se battre, Bray préférant se laisser faire alors que visiblement les gens avaient pensées à regarder autre chose que ses bandages pour s’apercevoir de sa blessure.
Il ferma les yeux alors que le nanméouïe retirer sa veste et ses bandages, refusant de voir son corps et laisser l’impression lointaine d’une aiguille détendre ses muscles et lentement l’endormir, la journée bien trop remplie à son goût.
|
|
Allen-Kune
Dresseur
Nature : Discret
Niveau : 25
Exp : 52
Pas de badges gagnés.
| Sujet: Re: [Ultra-Soleil] Croc d'Acier Ven 13 Jan 2023 - 21:05 | |
| Hey ...Cela faisait longtemps. Cela ne fut pas une année facile. Déjà bonne nouvelle mais je suis sur plusieurs nuzlocks que j'espère sortir avant mars ou avril. Et pour le reste des nouvelles .. PC en passe depuis 7 mois, problèmes médicales et personnel ?Ouais c'est beaucoup. Prenons dans l'ordre des problèmes actuelles. Mon pc portables est en train de mourrir. Je suis en train de le renvoyer mais il n'est pas encore partie et je ne sais pas quand il va revenir. Heureusement j'ai économisé au court des derniers trimestres assez d'argent pour une tablette et un clavier à tablette mais du coup je n'ai plus LibbreOffice et mon aide à la corrections de grammaires et je ne sais pas comment le mettre sur tablette. Cela risque d'être compliquer d'écrire mais moins que ses derniers mois !
Problème numéro 2 qui concerne cette histoire ... J'ai fait une depression. Cette histoire fut faite avec la préparation d'autre défis par le soutient de deux personnes que je pensait merveilleuse. C'est la personne qui a fait l'art pour mon histoire ( contre de l'argent). AzarmeMael de leur noms de stream ont finalement ...Fait part de propos assez désagréable, que beaucoup ont prit comme transphobe ou juste odieux et qui se sont de plus en plus répendus au fils des lives ou des discutions. Je fait partie de ceux ayant mal prit ses propos mais je m'était tut, ne voulant pas de problème surtout après avoir été agressé sur leur tchat par l'un de leur amis avec qui j'étais assez proche mais que des que j'ai arrêter de payer le sub a peut-être montrer ses vrais couleurs en m'insultant et me bannant de partout sans raison un jour sur leur tchat. Malheureusement après des menace par mp discord et pas mal d'accusation je fut ban de partout, discord, twitch et insta, avec comme fin des menaces et "l'interdiction de parler d'eux".
J'ai eu du mal à vivre ça, passant d'un semblant d'amitié à de la haine gratuite. J'ai dut attendre 6 mois pour me faire rembourser de la dame, Mael, une commande à plus de 100 euro qui n'as jamais été fait, et qu'une vrais amie m'a aider à leur demander un remboursement, et je me suis prit d'horrible propos des qu'ils avaient une mauvaise journée et le pire à était la haine et les nombreux mp de menace. Du jour au lendemain ses personnes avec qui je parlait, qui était même venu me voir dans le magasin dans lequel je travailler à l'époque, à rien de plus que de la méchanceté gratuite. Cela fut dure et cette histoire est sans doute maintenant abandonné.
Je n'ai plus mes notes, plus les infos sur mes pokémons et leur attaques et Alola me laisse un gout amère de l'argent perdu et du temps en live et en mp perdu. L'histoire fut plus triste que prévu. Et au lieu d'un personnage fictif c'est moi qui en est fait les frais.
Crocs d'Acier est fini, mais je ne dit pas mon dernier mot. Du moins je l'espère. Alola n'était pas la bonne région, et en 2 ans j'ai murit et grandit encore plus ! ( J'ai gagner 3 cm malgré mes 20 s'il vous plait !) alors je vais recommencer l'histoire. Je ne sais pas encore dans quel région mais je suis ouvert conseil, et cela va être les mêmes règles et peut-être même plus dure encore. Je n'ai pas encore dit mon dernier mots et je n'ai pas envie de vous abandonné. En attendant j'espère vous dire à bientôt. Et merci d'avoir était présent et honnête envers moi. |
|