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| [Saphir Alpha] Liberté Enfermée | |
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Écrivain
Nature : Bizarre
Niveau : 26
Exp : 479
| Sujet: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mer 12 Avr 2017 - 12:38 | |
| Rappel du premier message :Oyé oyé Peuple de NuzFR ! Voici venu le temps des rires et des chants des cathédrales de vous présenter un nouvel écrit de ma part ! Comme d'habitude, quelques précisions :
- C'est un Starterlocke sur Saphir Alpha.
- C'est plus ou moins un récit encadré à SN mais il n'y pas besoin de l'avoir lu pour comprendre.
- Si vous n'aimez pas les pavés de texte, passez votre chemin, j'ai banni les dialogues.
- Etant donné que je fais le jeu avec un Pokémon breedé qui n'est pas l'un des trois starters officiels de SA, j'ai commencé le Nuz à Clémenti-ville, dès que j'ai pu faire des échanges. Pour commencer le jeu et entraîner l'unique Pokémon que j'aurai, j'avais pris un Poussifeu, qui se trouve depuis lors au PC.
Et voici les quelques règles : - Règles:
- Starterlocke : Le Starter est ton meilleur ami ! Et ton seul, accessoirement.
- Braverylocke : La fuite, c'est pour les faibles.
- CSclave autorisé : Parce que nager avec une libellule, c'est chaud quand même.
Le sommaire : - Sommaire:
Et le prologue ! - Prologue:
« J’ai reçu mon Kraknoix à l’âge de quatre. Autant dire qu’on a grandis ensemble, lui et moi. Il me semble que c’était un cadeau de mes parents, pour mon anniversaire. Il était tout jeune, à peine sorti de l’œuf. Et j’étais tellement heureuse. Je ne me souviens que très peu du jour où je l’ai rencontré, mais je me souviens à quel point j’étais heureuse. Il était mon premier Pokémon. Et il a été mon seul et unique durant de nombreuses années. Ce n’est pas étonnant qu’il soit si jaloux des autres. Mais je crois qu’il restera mon seul et unique Pokémon finalement. J’ai vécu toute ma vie avec lui. « C’était un nouveau-né lorsque je l’ai reçu. Ses yeux s’ouvraient à peine et il ne tenait presque pas sur ses pattes. Pourtant, il n’était pas bien grand et son ventre n’était pas loin du sol. Mais sa grosse tête ne faisait que de tomber sur le côté, en émettant à chaque fois un bruit sec et creux. C’est à se demander ce qu’il y avait dedans, finalement. J’en rigole maintenant mais j’étais pareil. Petite, maladroite, tenant à peine ses mes jambes et me cognant dans tous les murs de la maison. J’avais quatre ans. Et j’étais tellement heureuse. J’ai souvent essayé de le porter, étant petite. Je n’ai jamais réussi, il était bien trop lourd pour moi. Mais je m’échinais tout de même à tenir sa grosse tête droite, au détriment de mon propre équilibre. Je ne compte même plus le nombre de gamelles qu’on a eu. « Je l’ai appelé Tyl, comme l’étoile. Enfin, mon père l’a appelé Tyl comme l’étoile. Je ne savais pas ce genre de chose à l’époque. Et heureusement que je l’ai laissé choisir, j’aurais pu l’appeler Doudou. Et c’est ce que j’avais voulu faire, d’ailleurs. »
Un léger sourire flotte sur ses lèvres alors que son regard se perd peu à peu.
« Je ne souviens presque pas de mes parents, ou de ma vie avec eux, pour dire vrai. Ce jour est bien l’un des rares qui reste clair dans ma mémoire. Nous vivions dans un petit village de Hoenn. Clémenti-ville, bordé par la mer à l’ouest, la forêt au nord, la rivière à l’est et le lac au sud. Nous habitions un chalet, construit à l’écart du centre avant même que mes parents n’arrivent. Il n’était pas bien grand, mais nous n’avions pas vraiment besoin de beaucoup d’espace. Quelques planches, quelques tuiles, et tout allait pour le mieux. Enfin, je suppose, je ne m’en souviens presque pas. Les pièces principales m’apparaissent en flash, ma chambre reste floue et quant à celle de mes parents, je ne me rappelle pas y avoir déjà mis les pieds. « Mais c’était amplement suffisant. Pour moi, pour eux, pour Tyl, bien qu’il n’y a finalement pas vécu longtemps, dans ce chalet. Mais l’espace à l’intérieur nous permettait tout de même d’y faire les quatre-cents coups ensemble, et nous avions tout le village à notre disposition. Malgré notre âge, nous avions déjà la fâcheuse tendance à sans cesse nous éloigner de mes parents, à nous retrouver alors sans surveillance. Quand c’était le cas, on en profitait mais ils nous retrouvaient quand même rapidement à chaque fois. Il faut dire qu’on ne marchait pas bien vite, avec notre manque mutuelle d’équilibre, nos petites jambes et Tyl qui n’était déjà pas un rapide de nature. Et je m’amusais à lui grimper sur le dos, ce qui n’arrangeait rien. En fait, je le martyrisais presque étant petite. « Je crois que c’est finalement les seuls souvenirs que j’ai de cette vie dans le chalet. Ou du moins, les plus nets. Je ne me souviens même plus de mes parents. Oh, je sais à quoi ils ressemblent, mais uniquement grâce à une de leur photo de mariage, que quelqu’un a sauvé et m’a donné. Je me suis toujours amusée à voir à quel point nous étions dissemblables. Le seul point commun que nous ayons, ce sont nos taches de rousseur sur le nez, les joues, et principalement le haut du corps. Bien trop reconnaissables. Mon père était très grand, et très maigre aussi. Son visage allongé et ses joues creusées lui donnaient un air étrangement sévère et sec. Mais, sur la photo, il lance tout de même un regard doux à ma mère, de ses yeux tout aussi foncés que ses cheveux l’étaient. Ma mère, quant à elle, était l’exact contraire. Petite, potelet, le visage rondelet, les cheveux blond platine et les yeux vert clair. « Et moi, je suis le parfait mixte entre eux deux. Une taille moyenne. Mince. Rouquine sans en avoir l’air, qui tire plus vers le blond. Un visage rond. Bien trop de taches de rousseur partout sur le haut du corps. Heureusement que je les cache souvent tout de même. Et surtout, des yeux bien trop repérables. Vairons, hétérochromes mais identiques. Le mélange entre mes deux parents. Le vert clair de ma mère avec des pointes du même brun que mon père, qui se rassemblent finalement au centre de l’iris. »
Elle soupire en me montrant son visage avec une moue irritée.
« J’ai beau ne plus me souvenir d’eux, je pense tout de même que j’ai bien vécu durant ces quatre ans. Ils devaient être gentils, sinon ils ne m’auraient pas offert Tyl. Je me demande sans cesse ce qu’aurait été ma vie si jamais ils n’étaient pas partis. Sûrement très différente. Nous n’avons pas vécu longtemps dans ce chalet. Mes parents, environ six ans. Moi, un peu plus de quatre ans. Et Tyl, à peine quelques mois. C’est de ma faute s’ils sont morts. »
Elle déglutit, laisse passer un léger temps de silence. Et commence enfin à parler.
« Une fois encore, j’avais réussi à échapper à la vigilance de mes parents, et j’étais sortie avec Tyl sans leur consentement. Nous sommes restés aux alentours de la maison mais le petit coin d’eau qu’il y avait non-loin de chez-nous, à une dizaine de mètres tout au plus, m’attirait et m’intriguait depuis déjà quelques temps. Alors j’y suis allée, sans autre forme de réflexion. « Personne dans la famille n’était dresseur. Le seul Pokémon que nous avions était Tyl, qui n’était encore qu’un enfant, et qui appartenait à une enfant. Mes parents ne l’avaient pas entrainé. Quant à moi je me fichais encore bien des combats à mon âge. J’avais d’autres préoccupations en tête, comme ‘’Est-ce que Tyl finira par tenir sur ses quatre pattes un jour ? ‘’ ou ‘’Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir manger ce soir ? ‘’. Les combats, j’ignorais même jusqu’à leur existence. Quant à l’idée que certains Pokémon pouvaient être sauvages, je ne la comprenais pas. Je n’avais que Tyl comme référence, et il était parfaitement dressé. Certes, ce n’était pas un modèle d’obéissance, mais il était gentil et docile. Jamais je ne l’ai vu violent sans raison. « Ainsi, lorsque j’ai vu quelques bébés Magicarpes barboter dans l’eau claire, je me suis approchée afin de les regarder de plus près. Je pensais même pouvoir les toucher, les caresser. Mais ils étaient sauvages. Oh, bien sûr, ils ne m’ont rien fait. Ils étaient petits et faibles, jamais ils n’auraient osé attaquer quelqu’un. Et peut-être n’y auraient-ils jamais pensé, tout comme moi. Je voulais juste les voir, au final. Mais ce n’est pas ce qu’a cru leur mère. « Voir une mère Léviator en furie à l’âge de quatre ans n’est pas une expérience des plus plaisantes, bien au contraire. J’ai cru y passer. Elle a surgi du lac sans crier gare. Je ne l’avais pas vu avant, elle surveillait ses petits depuis le fond de l’eau. Elle m’a aperçue lorsque je suis arrivée au bord, Tyl trainant derrière moi et gambadant sur ses petites pattes. J’ai à peine eu le temps de tendre la main vers ses bébés qu’elle est apparue devant moi. « Elle me dominait totalement. Lorsque je suis tombée en arrière, j’ai entendu Tyl pousser un petit cri de terreur, suivi d’un bruit sourd. Puis j’ai senti la terre trembler. Je n’ai pas pu essayer de me relever, c’était impossible. Tyl essayer de me protéger, à sa façon. Mais la Léviator n’en a été que plus furieuse. Ses petits s’étaient depuis bien longtemps réfugiés au fond du lac, elle avait donc le champ libre, totalement libre. Instinctivement, elle s’en est pris à Tyl, et elle a réussi. Mais pas aussi bien qu’elle pouvait l’espérer. Elle n’a que réussi à le blesser, mais son intention était toute autre. Sur le coup, j’y ai cru. Je l’ai vu mort. Il ne bougeait pas, ne se relevait pas. « Le coup porté avait été dévié par un Vigoroth. Je n’ai pas vu le bref combat qui s’en est suivi mais la Léviator est rapidement retournée dans l’eau, rejoindre ses petits. Un attroupement s’était formé autour du lac et des chuchotements commençaient doucement à en émerger. On m’a porté jusqu’à Tyl, qui ne bougeait toujours pas, puis on m’a dit de rester là où j’étais, comme si j’allais l’abandonner à son sort. J’ai vu une large blessure ouverte à sa cuisse, dont il porte encore la marque aujourd’hui. Puis en relevant les yeux, j’ai vu le chalet dans lequel nous habitions écroulé, détruit par l’attaque de Tyl. « Mes parents n’en étaient pas sortis. »
- Petite notre de bas de page:
Parce que je l'avais oubliée ^^'
Donc, comme déjà dit, j'ai retiré les dialogues de ce que j'écris. Au final, c'est ce que je présente ici qui se rapproche le plus de ce que je peux écrire hors forum. Quelqu'un qui raconte tout simplement sa vie. Donc pas de dialogue sinon c'est juste étrange, je trouve. C'est vrai que dans les récits encadrés, on voit très souvent des dialogues, mais moi, à part imaginer le narrateur faire une pièce de théâtre à lui tout seul, j'arrive vraiment pas à capter le truc '^'
Comme déjà dit également, c'est un récit encadré à SN. Le seul truc, c'est que du coup, le nom de la protagoniste est indiqué dans SN mais pas ici. Ici, c'est juste "Je" ou "Elle", ça dépend quel point de vue qu'on prend, celui du narrateur du récit encadré ou celui du récit cadre.
Pour les deux/trois que ça intéresse, par rapport aux yeux vairons... Ici, c'est l'autre forme du vairon. Pour faire simple, il y a deux variantes d'hétérochromie. L'hétérochromie irisium, qu'on connait tous. Les deux yeux ont soit une couleur différente (bleu/vert, vert/brun), soit une nuance différente (jaune/brun, gris/bleu). Ici, c'est de l'hétérochromie iridisium. Le principe, c'est que les deux yeux sont identiques, mais qu'il existe des différences de couleurs/nuances à l'intérieur même d'un iris. Il est beaucoup plus courant que le premier et pourtant moins connu, sûrement car moins visible. Ici, c'est donc vert/brun.
Ne sachant quoi écrire, je vous laisse avec mon expression favorite. Gné...? - Mes Nuzlockes ! :
Vous savez, je pense pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations...
Venez voir la Gazette participative de NuzFR !
- Tasse de thé par Ryiko |
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Auteur | Message |
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Sébouss
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mar 13 Juin 2017 - 10:07 | |
| Toujours aussi bien, ça fait toujours plaisir à lire. Et ça plaisir de voir Roxanne se faire rouler dessus comme ça. La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. N'hésitez pas à suivre le compte Twitter officiel de Nuzlocke France juste là. Si vous souhaitez que vos Nuzlockes y soient publiés, faites votre demande ici. La liste de l'ensemble de mes Nuz se trouve juste ici ! |
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mar 13 Juin 2017 - 10:59 | |
| Oh putain... Toutes ces fautes, que m'arrive-t-il ? '^' Faut vraiment que je fasse plus attention ces temps-ci. Et que j'arrête d'écrire le soir, après le travail, quand je suis crevée surtout. - Line a écrit:
- Avec de l’entrainement, sa puissance ne pouvait
être qu’augmenter. En revanche, ça, c'est pas une faute. - Line a écrit:
- Avec de l’entrainement, sa puissance ne pouvait être qu’augmentée
Celle-ci, par contre, je dis pas ! Ne sachant quoi écrire, je vous laisse avec mon expression favorite. Gné...? - Mes Nuzlockes ! :
Vous savez, je pense pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations...
Venez voir la Gazette participative de NuzFR !
- Tasse de thé par Ryiko |
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Lun 3 Juil 2017 - 19:52 | |
| - ShadowEevee a écrit:
- le Pack Devon (car je suppute que c'est ça, ce fameux objet volé).
Spoiler. Tu supputes bien. Dernier épisode du chaaaapitre ! - Chapitre 1 - Episode 5:
« Pourquoi j’y vais ? », Se surprend-elle à penser. « Après tout, je n’ai rien à voir avec cette enfant, Et cet agissement pourrait être imprudent. » Mais pourtant, elle continue de courir Vers un lieu où elle ignore ce qu’elle va découvrir. « Peut-être rien, peut-être l’homme, peut-être le grand-père ; Ou juste l’objet volé sans rien d’autre derrière. » Elle sait que ses chances sont menues, Et elle ignore quoi dire si tout est perdu. L’espoir continue pourtant à guider ses pas, Tandis qu’elle espère ne pas avoir à mentir une nouvelle fois.
***** « Le tunnel Mérazon n’était pas loin par rapport à la maison de Roxanne. A peine un petit quart d’heure de marche suffisait pour s’y rendre, alors en courant, ce fut largement plus rapide. Je pensais que j’allais pouvoir retrouver ses grands-parents plus rapidement que la police, que les attendre allait laisser encore plus d’avance à l’homme qui était parti devant. Alors j’y suis allée, en prenant Tyl dans mes bras, et en laissant Roxanne seule dans sa maison. Je me disais que, de toute manière, les hommes de la police n’allaient pas tarder à arriver, qu’elle serait seule quelques minutes seulement, et que le temps qu’elle leur explique la situation, l’homme serait déjà loin. « J’y suis vite arrivée. Mérouville n’était vraiment pas loin des montagnes. Ce tunnel était censé faire le lien entre la ville et un petit village perdu dans les hauteurs : Vergazon. Relier ce village à une ville plus importante avait été la priorité de Hoenn ces dernières années, mais jamais le tunnel Mérazon n’avait abouti à quelque chose, entre les grèves des ouvriers et les associations de défense de l’environnement. Finalement, à cette époque, Vergazon était encore un petit village perdu dans les hauteurs. « Les grottes ne m’ont jamais fait peur mais celle-ci était particulièrement silencieuse, les travaux ayant fait fuir la quasi-totalité de la faune plus loin dans les montagnes. C’est assez facile de comprendre pourquoi les organisations pour l’environnement s’étaient mêlées de la construction du tunnel, après tout… J’ai croisé un unique Chuchmur perdu, se cognant sur toutes les parois car devenu sourd à cause des machines. »
Ses doigts tapotent la table.
« Bref. Je n’ai pas eu besoin d’aller bien loin dans la grotte, étant donné qu’elle n’était pas finie. J’ignore ce qu’était venu faire l’homme ici. Sûrement se planquer le temps que l’affaire se tasse et que ses collègues se fassent prendre en chasse en priorité, lui laissant par conséquent la voie libre. En tout cas, c’est ce à quoi j’ai pensé lorsque je l’ai vu avec l’objet volé en main, et surtout seul… »
Elle se mord la lèvre inférieure.
« Je dois avouer que j’ai été déçue. Moi qui voulais absolument retrouver les grands-parents de Roxanne, je n’étais pas tombée sur le bon homme. Mais c’était évident après coup. Si les voleurs s’étaient séparés en sortant de la maison de Roxanne, ils n’allaient sûrement pas emmener les otages avec celui qui devait se charger de mettre ce qu’ils avaient volé en sûreté. Bien évidemment, la police chercherait les deux disparus en priorité, et laisserait le vol de côté. Au final, les petits vieux n’avaient été que des distractions pour ces cambrioleurs. « Mais visiblement, la cachette n’avait pas été une sécurité satisfaisante pour cet homme, qui s’en été pris à un marin d’une soixantaine d’année et son Goélise, qu’il avait dû croiser sur sa route. Le voleur attendait patiemment dans le fond du tunnel, et il avait placé les deux nouveaux otages devant lui, dans la crainte évidente qu’on finisse par le retrouver avant ses collègues. Il avait eu bien raison, du coup. Je l’avais effectivement retrouvé avant ses collègues. Et il faut dire que j’avais la rage de ne pas être tombée sur les grands-parents de Roxanne. « Alors je l’ai appelé à travers le tunnel. Les bruits portaient plutôt bien dans cette grotte, il a eu vite fait de m’entendre et de me voir. Comme il était impossible pour lui de continuer vers Vergazon, il est venu à ma rencontre, avec le vieux marin et son Pokémon devant lui, en guise de protection. Lorsqu’il a vu que j’étais seule, et que j’étais jeune aussi, il s’est mis à rire, en me demandant ce que je comptais faire. Et c’était une excellente question. J’étais venue, je l’avais trouvé, je l’avais interpellé. Et maintenant ? Comme je l’ai dit plus tôt, j’étais seule. Comment j’allais pouvoir arrêter un homme adulte, plus grand et plus fort que moi, alors que je dépassais difficilement le mètre cinquante ? Même avec Tyl, qui ne volait pas encore, l’opération risquait d’être complexe. « Et mon impression d’impuissance n’a été que renforcée lorsque j’ai aperçu un bandage entourant l’une de ses mains. En dessous de ce bandage, ses articulations et ses doigts ne devaient pas encore être totalement soignés, et les dégâts devaient être encore très lourds. C’est à ce moment que j’ai compris que l’homme dans la forêt de Clémenti-ville n’allait jamais retrouver l’usage de la main que Tyl avait mordu, deux mois plus tôt. »
Elle déglutit.
« Bien sûr, il m’a également reconnue. Ce n’était pas bien compliqué, quand on pense qu’il m’avait déjà vu il y a deux mois, lorsque j’étais encore recherchée et que mon Pokémon lui avait démoli la main pour le restant de sa vie. Comme on pouvait aisément s’y attendre, il n’a pas été particulièrement heureux de me revoir et je l’ai facilement lu sur son visage. Après avoir vu une petite étincelle passée dans son regard, il s’est soudainement tu, son rire résonnant encore dans le reste de la grotte. Un rictus de terreur rapide est apparu sur ses lèvres lorsqu’il a vu Tyl, que je portais encore dans mes bras. Sa main bandée a eu un tic étrange, sûrement récent et dû à sa nouvelle condition, comme si la présence de Tyl l’avait soudainement réveillée. « Après ce petit temps de latence, la réaction de l’homme en face de moi fut des plus rapides. Désir de vengeance, sûrement… Il était clair que, cette fois-ci, il ne souhaitait pas forcément m’embrigader dans son organisation étrange, qui aimait visiblement bien s’en prendre aux petits vieux. Une pokéball est arrivée droit sur Tyl et moi, et mon petit compagnon n’a pas eu le temps de se dégager de mon étreinte avant qu’elle ne s’ouvre devant ses yeux. Un Medhyèna en est sorti, le même que dans la forêt, qui était censé s’être fait écraser par un arbre mort. »
Elle laisse échapper un petit rire nerveux.
« Tyl s’est dégagé juste après, et est tombé au sol. Du coup, ce fut moi que la teigne a mordu. Mon bras plus précisément. Et c’est qu’elle était hargneuse, cette sale bête. Le Medhyèna n’a pas voulu me lâcher de sitôt, et j’avais beau secouer le bras en serrant les dents, il tenait bon. Le Pokémon ne m’a lâché que lorsque son dresseur lui en a donné l’ordre, une fois qu’il m’eut plaquée au sol encore plus facilement que prévu. Quant à Tyl, il n’avait pas fait long feu, maintenant que cet homme savait à quoi s’attendre avec lui. Un coup de pied dans les côtes, et c’était expédié. Puis, le Medhyèna est resté auprès de mon Pokémon, pour le surveiller et le retenir au moindre pas de travers. »
Elle souffle.
« On avait été particulièrement lamentables, ce coup-là, Tyl et moi. Enfin… Surtout moi. Tyl a tout de même essayer de tenir tête aux ravisseurs, une fois qu’il fut remis de ses émotions. Juste après que l’homme m’ait assez fait comprendre à sa manière que sa main l’avait fait souffrir pendant ces deux derniers mois, Tyl s’est relevé et a commencé à paraître menaçant aux yeux de son geôlier. Il s’est redressé, a claqué des dents à quelques centimètres à peine du visage du Medhyèna. En guise réponse, ce dernier a grogné puis en voyant Tyl se dresser sur ses deux pattes arrière, comme dans la forêt, il lui a mordu le cou. Mais la blessure n’a pas empêché Tyl de l’envoyer six pieds sous terre, littéralement. « La seconde suivante, on a tous clairement entendu plusieurs personnes rentrer dans la grotte, et venir à notre rencontre. La police, bien sûr. J’avais finalement été bien stupide de penser qu’ils allaient mettre longtemps à venir, alors que réagir rapidement à une telle situation faisait partie intégrante de leur métier. »
Elle claque la langue.
« Je m’en voulais, bien évidemment. Quelle idée j’avais eu d’embrigader Tyl dans une telle histoire… Il avait été blessé, moi également, ainsi que mon amour propre et ma confiance en soi. »
Elle me lance une moue agacée.
« Face à plusieurs policiers entrainés, l’homme n’a pas pu faire grand-chose, et s’est bien rapidement rendu sans autre forme de procès. Ils l’ont rapatrié en ville, droit vers le poste de police, où il a été interrogé sur le pourquoi de ses agissements, ainsi que sur ses collègues. L’objet volé a été récupéré, examiné, avant d’être remis en main propre à son propriétaire légitime, le patron de la Devon, quelques heures plus tard. Tyl, le vieux marin, son Goélise et moi avons été récupérés et menés dans un centre de soin au centre de Mérouville. Roxanne m’y a rejoint un petit quart d’heure plus tard, après un entretien rapide avec les autres hommes de la police à propos du déroulement du cambriolage. « Et j’ai à nouveau été confrontée à ma propre bêtise. Quoi lui dire ? Je n’avais pas retrouvé ses grands-parents, comme je lui avais dit que je le ferai, en sortant de chez elle, courant droit vers le tunnel Mérazon. Je n’ai pas eu besoin de lui préciser mon échec, après tout. Les policiers lui en avaient déjà fait part, bien sûr. Mais malgré tout, je me suis sentie faible. Et inutile… « J’ai eu des nouvelles de Tyl bien rapidement. Il n’avait presque rien, les morsures infligées par le Medhyèna étaient minimes. Au contraire, mon Kraknoix avait bien amoché son adversaire, comme il l’avait déjà fait deux mois auparavant dans la forêt. »
Elle baisse les yeux.
« Après quelques heures de soin, durant lesquels j’ai eu le droit à un léger bandage autour du bras, pour panser la morsure du Medhyèna, ainsi qu’à quelques pansements sur les arcades sourcilières, ce fut à mon tour d’être emmenée au poste de police de Mérouville. Pour répondre de mes actes idiots. Outre leur dire que je n’avais pas réfléchit, ou du moins pas assez, je n’ai pas su quoi leur raconter d’autre. « Mais ce n’était pas tout ce qu’ils voulaient savoir, bien évidemment. Pourquoi j’étais partie de l’orphelinat ? Qu’avais-je fait durant ces deux derniers mois ? Pourquoi étais-je venue me planquer ici, à Mérouville ? Qu’avais-je fais du gamin qui s’était enfui avec moi, Brice ? On m’a bombardée de questions sur mon voyage, le rapport que j’avais avec le type qu’ils avaient arrêté dans le tunnel, qui avait affirmé qu’il m’avait déjà vue. Je leur ai dit la vérité, je leur ai raconté les plus petits détails, en espérant que la sentence serait meilleure que si je ne leur disais rien. Mais bien sûr, il n’y avait qu’une issue possible. Le retour simple et direct à Bourg-en-vol. Du moins, c’était ce que je pensais. « Lorsqu’ils me l’ont annoncé, ce retour, je les ai suppliés de ne pas m’y ramener. C’était ce que je voulais le moins au monde. Mais la décision ne tenait pas de leur ressort, ainsi, je fus obligée d’attendre l’arrivée des autorités chargées de mon cas, une fois encore. J’ai l’impression d’avoir beaucoup attendu durant les seize premières années de ma vie. J’attendais tout et n’importe quoi. Surtout des gens finalement. Des gens qui avaient tout pouvoir sur moi, et face auxquels je n’avais pas un mot à dire. »
Elle émet un léger bruit de succion, le regard perdu.
« Quelques heures plus tard, le patron du grand-père de Roxanne est venu la voir, tout simplement pour prendre de ses nouvelles. C’était le grand patron de la Devon SARL, qui s’était installée en ville plusieurs dizaines d’année auparavant. Son P-D.G en somme. C’est plutôt rare pour un patron d’aller voir comment se portent les membres de la famille de l’un de ses employés… Mais, il était avant tout venu chercher ce que les cambrioleurs avaient volé chez Roxanne. D’après les dires de cette dernière, son grand-père avait voulu travailler à la maison, c’est pourquoi cet objet se trouvait chez lui à cet instant. « Je les entendais discuter dans la pièce à côté de celle où j’attendais patiemment qu’on vienne me chercher pour me ramener à Bourg-en-vol. Je ne disais rien, et j’étais sous bonne garde. Roxanne et lui semblaient s’être déjà vus, et elle paraissait lui faire totalement confiance. Quant à lui, il semblait la respecter, malgré son jeune âge et ses manières hautaines. Je n’ai pas suivi la totalité de leur conversation, principalement car elle ne m’intéressait pas le moins du monde. Je me concentrais plus sur moi-même, et mon futur retour en ce que je considérais être l’enfer. « C’est pourquoi je n’ai pas entendu le patron rentrer dans la pièce où je me trouvais. Etrangement, il m’a sobrement remercié d’avoir essayé de retrouver le retrouver les grands-parents de Roxanne, malgré mon échec cuisant. Il s’est présenté comme étant M. Rochard, P-D.G de la Devon SARL. Je savais déjà qui il était, mais je suis restée silencieuse, faisant comme si je n’avais jamais entendu parler de lui, comme si j’apprenais son existence à cet instant-même. Il m’a indiqué qu’il savait qui j’étais, comme si passer à côté de mon existence avait été compliqué ces derniers mois. Puis, il m’a demandé mon aide. « Il avait besoin d’un messager, afin de porter ce qui avait été volé plus tôt à destination du chantier naval de Poivressel. A la base, le grand-père de Roxanne était censé avoir ce rôle, mais sa disparition avait soudainement tout compromis. L’objet volé était une simple mallette contenant, selon ses dires, les pièces d’un bateau en construction. Le maitre de chantier les lui avait commandées voilà quelques semaines, et M. Rochard était censé lui remettre dans le courant de ce mois-ci, sous peine de voir son contrat et ses relations se stopper soudainement. Dans la foulée, il souhaitait que je fasse escale par l’île de Myokara, afin que je remette une lettre écrite de sa main à son fils, Pierre, qui devait vraisemblablement y passer ses vacances. « Le choix était simple. Soit je refusais, et je retournais directement à Bourg-en-vol. Soit j’acceptais, et M. Rochard s’arrangeait pour que ce rapatriement ne se fasse plus, grâce à ses relations haut-placées. J’ai accepté directement. »
Elle hausse les épaules.
« Certes, d’un côté, je reprenais directement la route, mais je n’avais plus la crainte de retourner à l’orphelinat. Et Tyl non plus. Je ne voulais pas qu’il y retourne. Il y avait été martyrisé, tout comme moi. Et avec tout ce qu’il avait déjà fait pour moi depuis le début de notre voyage, je n’avais aucune peur à le savoir sur les routes à mes côtes. « Ainsi, j’ai accepté l’offre que M. Rochard me proposait, même si finalement, c’était plus une espèce de chantage qu’autre chose. Ce dernier, comme il l’avait promis, a bien vite réussi à s’arranger avec les agents des services sociaux pour que je sois autorisée à voyager, sous sa tutelle et son nom. Pendant les quelques semaines qui ont suivies, je fus obligée de me présenter comme étant la messagère de M. Rochard, P-D.G de la Devon SARL. Mais au moins, j’étais libre. »
Elle sourit.
« Je suis restée encore quelques jours à Mérouville, le temps notamment que M. Rochard vérifie le contenu de la mallette, qu’il y rajoute quelques composants, ainsi que ses excuses au chantier naval pour le retard et le fait que ce soit moi qui les livre. Il a également profité de ces quelques jours de calme pour peaufiner la lettre qu’il destinait à son fils. Quant à moi, je n’ai pas osé retourner voir Roxanne, qui vivait désormais chez l’une des rares amies qu’elle s’était faites à l’école où elle étudiait. Je suis restée lamentablement au centre Pokémon où j’ai pu me reposer, me morfondre, et m’excuser un nombre incalculable de fois auprès de Tyl pour tout ce que j’avais pu faire. « J’avais l’étrange impression que ce dernier avait mûri depuis que nous nous étions enfuis de l’orphelinat, tandis que moi, je n’avais pas évolué. Je l’avais mené à un nombre de dangers absolument phénoménal… A chaque fois, je m’en voulais. A chaque fois, je recommençais. Et jamais je ne m’étais excusé auprès de lui. Lui qui avait réussi à me supporter toutes ces années pourtant… « Je suis restée ces quelques journées sous surveillance d’un employé de la Devon à qui je n’ai jamais parlé. Visiblement, M. Rochard tenait à son business, et ne voulait pas que je m’envole. Je ne cessais de me demander comment un homme aussi proche de ses employés, du peu que j’en avais vu, pouvait être aussi tyrannique. Le contrat était simple. J’allais le plus rapidement possible à Myokara, où je remettais la lettre à son fils, puis je me dirigeais directement après vers le chantier naval de Poivressel afin de donner le colis au maitre de chantier. Pour traverser la mer, j’allais être aidée de M. Marco, le marin qui avait été pris en otage avec moi au fond du tunnel, et qui avait par conséquent pu assister à mon échec magistral. « Mais il y avait tout de même quelques subtilités. Bien sûr, et bien que jamais l’idée ne me serait venue à l’esprit, je ne devais pas lire la lettre que j’allais transporter, ni même ouvrir la mallette. M. Rochard a dû facilement me le répéter une bonne dizaine de fois. De même, si je ne livrais pas tout ce que je devrais livrer dans le temps qu’il m’avait imposé, c’était retour à la case départ. Il rappellerait immédiatement les services sociaux et adieu la liberté que j’avais espéré. J’allais être constamment sous la surveillance de M. Marco, qui allait lui indiquer tous mes faits et gestes. Si jamais quelque chose se passait de travers, même sentence. Apparemment, il n’avait pas oublié que fuir était l’une de mes spécialités, et il tentait de me tenir en laisse afin que le contrôle ne lui échappe pas. »
Elle pouffe.
« Bon, sa tentative n’a pas marché. Mais ce fut tout de même rigolo de le voir essayer. »
Son visage se ferme soudainement.
« En vérité, sur le coup, toutes ces menaces m’avaient terrifiée. Alors j’ai essayé de lui obéir bien docilement… Un matin, quelques jours après l’incident du tunnel Mérazon, M. Marco est venue me voir au centre Pokémon, m’indiquant qu’on partait immédiatement. Il avait déjà la mallette en main, ainsi que la lettre de M. Rochard. Je me suis levée directement, sans un mot. J’ai pris Tyl dans mes bras, et j’ai suivi le marin jusque son bateau, qui était amarré derrière la forêt Clémenti. Je suis donc parti en direction de l’île de Myokara. »
- Petite note de bas de page:
Tyl- Kraknoix solo- Niveau 18 à la sortie de Mérouville - Attaques : Piétisol/Morsure/Feinte/Eboulement Commentaire In GamePiétisol, l'amour de ma vie... Voilà le combat face au Sbire, toujours aussi plein de suspense et de rebondissements : Sbire Aqua VS Medhyèna • Morsure – OS Piétisol
Par contre, le manque de vitesse a commencé à se faire ressentir... Cette saleté de Medhyena m'a mis mid-life en une attaque... Commentaires du récitJ'ai rien à dire mais à part que je commence officiellement la pause de quelques mois avant le prochain chapitre. Je cherche à me concentrer plus sur mon Projet, et à au moins finir le chapitre en cours et à commencer le suivant avant de reprendre le Nuz.
Ne sachant quoi écrire, je vous laisse avec mon expression favorite. Gné...? - Mes Nuzlockes ! :
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Lun 3 Juil 2017 - 21:31 | |
| Dommage que le sbire n'ait pas perdu sa deuxième main. Ça aurait été drôle. - Line a écrit:
- Bon, sa tentative n’a pas marché. Mais ce fut tout de même rigolo de le voir essayer.
Je sais pas pourquoi mais cette phrase m'a fait rire. Bonne pause et hâte de voir la suite ! La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. N'hésitez pas à suivre le compte Twitter officiel de Nuzlocke France juste là. Si vous souhaitez que vos Nuzlockes y soient publiés, faites votre demande ici. La liste de l'ensemble de mes Nuz se trouve juste ici ! |
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mar 4 Juil 2017 - 1:16 | |
| - Grammarnizisme en force:
- Line a écrit:
- ce dernier a grogné puis voyant que Tyl se dressait sur ses deux pattes arrière
- Line a écrit:
- Elle émet un léger bruit de succion
(je suis pas non plus très sur de l'orthographe de succion, mais comme je suis pas sur, je vais passer outre)Bon, c'est mieux que la dernière fois. 8/10 attends, mais qu'est-ce que je raconte, la...
Mis à part ça, c'est toujours aussi bien. Pour citer Antoine Daniel : "C'est frais, c'est fin... Ca se mange sans faim." - Sébouss a écrit:
- Dommage que le sbire n'ait pas perdu sa deuxième main. Ça aurait été drôle.
|
| | | Line
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mar 4 Juil 2017 - 8:28 | |
| J'ai corrigé les fautes. Et pour "succion", j'avais vérifié dans un dico comme j'étais pas sûre non plus. - ShadowEevee a écrit:
- Line a écrit:
- ce dernier a grogné puis voyant que Tyl se dressait sur ses deux pattes arrière
Alors, ça, c'est typiquement la faute du "je sais pas quoi écrire et je mélange deux formules" ^^' Je voulais écrire "puis en voyant Tyl se dress er blablabla..." et en même temps "puis voyant que Tyl se dress ait blablabla...". Du coup, ça a donné ce mélange du verbe censé être conjugué mais mis à l'infinitif x) J'ai corrigé en prenant la première version à l'infinitif, celle que je voulais mettre à la base. J'ai donc juste supprimé le "que" et replacé un "en". - Sébouss a écrit:
- Dommage que le sbire n'ait pas perdu sa deuxième main. Ça aurait été drôle.
Sébouss, psychopathe à ses heures perdues. Ne sachant quoi écrire, je vous laisse avec mon expression favorite. Gné...? - Mes Nuzlockes ! :
Vous savez, je pense pas qu'il y ait de bonnes ou de mauvaises situations...
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| Sujet: Re: [Saphir Alpha] Liberté Enfermée Mar 4 Juil 2017 - 18:48 | |
| Non ! Enfin, un peu ! Faut plutôt le voir comme un running gag. Deux apparitions, deux mains en moins. Et pas de bras, pas de chocolat. La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. N'hésitez pas à suivre le compte Twitter officiel de Nuzlocke France juste là. Si vous souhaitez que vos Nuzlockes y soient publiés, faites votre demande ici. La liste de l'ensemble de mes Nuz se trouve juste ici ! |
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| | | | | [Saphir Alpha] Liberté Enfermée | |
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